Ilest le capitaine d’une équipe qui a réalisé une première partie de saison décevante. Un paradoxe, tant Artur Abreu a, comme toujours, réalisé des prestations impressionnantes. Alors que l’Union Titus reprend face au Swift en cette 16e journée, le milieu offensif aborde avec franchise le bilan décevant de son club, ses objectifs, et un [] Après deux belles victoires initiales contre Le Cannet, puis Istres, le Vandœuvre Nancy Volley-Ball VNVB marque le pas et reste sur cinq revers de suite toutes compétitions confondues. L’équipe de Cyril Wozniak glisse doucement dans le bas du classement, à la 9e place. Lucide et clairvoyante, la capitaine Julie Mollinger s’attendait à vivre des périodes de vaches maigres. Elle demeure néanmoins confiante pour la suite de la saison, avec un calendrier plus abordable d’ici la fin des matchs aller. Entretien. Comment expliquez-vous cette série négative de cinq défaites consécutives ? Il ne faut pas oublier que le VNVB est un promu, qui redécouvre le haut niveau. Il est normal que l’on connaisse une période de moins bien. Je ne mets pas ces cinq défaites sur un même pied d’égalité. Béziers 3-0 et Mulhouse 3-0 sont des cadors de la Ligue A, souvent sur le podium en fin de saison. On ne boxe pas dans la même catégorie. Paris Saint-Cloud 0-3 était davantage à notre portée, mais n’est pas en tête du classement par l’opération du Saint-Esprit. La vraie déception est la défaite à Saint-Raphaël 3-1, dernière de la saison passée, repêchée après la liquidation du Hainaut et sévèrement battue par Terville 3-0, lundi 23 novembre. Nous passons à un cheveu d’un cinquième set où tout aurait été possible. Je regrette simplement notre manque actuel d’agressivité et de confiance. Etes-vous inquiète ? Sentez-vous le groupe touché ? Non, pas du tout ! J’insiste depuis le début de la saison pour que l’on prenne du recul. Il ne sert à rien de dramatiser après une défaite cuisante ou de s’enflammer après une victoire de prestige comme face au Cannet. Nous nous étions préparées à vivre des moments compliqués. Une chose est sûre il ne faut surtout pas céder à la panique. On est simplement à la moitié des matchs aller. Il y a largement le temps de rebondir et de relever la tête. J’essaie de ne pas trop penser à 2012 et à la rétrogradation même si c’est forcément dans un petit coin de ma tête. J’ai vraiment été marquée par cette période. Je reste persuadée que l’on a les armes pour se maintenir, voire mieux. Il faut aussi que l’on apprenne à perdre. Depuis trois ans, nous dominions notre sujet de la tête et des épaules, on avait le statut de favorites à chaque match ou presque. Les joueuses de Terville-Florange TFOC savent par exemple pertinemment qu’elles vont devoir batailler toute la saison pour s’en sortir et gratter des points par ci par là. Dans la tête, c’est complètement différent. Personnellement, je préfère cette approche. Jouer sans trop se donner, sans vraiment de pression, ce n’est pas ma tasse de thé. Je ne joue pas au haut niveau pour ça. Pensez-vous que le VNVB vaut mieux que son actuel 9e place au classement ? J’en suis persuadée. L’équipe a un jeu très riche et intéressant, collectivement on peut faire jeu égal avec pas mal d’adversaires. Saint-Raphaël occupe par exemple la 6e place à l’heure actuelle. Malgré notre défaite là-bas, je ne pense pas que nous avons grand chose à envier à cette formation. Notre calendrier n’était pas simple, ça va aller mieux dans les prochaines semaines. On doit affronter Chamalières, Venelles et Terville d’ici la fin des matchs aller. Notre maintien passera par des victoires lors de ces confrontations directes face aux équipes de la seconde moitié de classement. Les exploits contre les grosses équipes ne sont que du bonus. Je pense par exemple à celle contre Le Cannet 3-1, qui ne restera pas en queue de peloton toute la saison et va se ressaisir. Et votre prochain déplacement à Nantes, ce lundi 30 novembre ? On n’affronte pas forcément cette équipe au meilleur moment. Elle est en pleine confiance après sa victoire contre Cannes 3-0. Un peu à l’instar de Saint-Raphaël, qui avait gagné successivement face à Cannes 3-2 et à Nantes 3-2 avant de nous accueillir. C’est une belle équipe du championnat, mais il y a un bon coup à jouer. Il y a eu pas mal de mouvements à l’intersaison. Elle n’a pas encore trouvé sa vitesse de croisière. L’incertitude règne sur la participation d’Alexia Djilali, qui souffre d’une inflammation du genou ? Alexia est forte physiquement et psychologiquement. Ellle est habituée à serrer les dents. Il lui reste du temps pour se rétablir. C’est une pièce importante de l’équipe. Si elle devait déclarer forfait, je suis certaine que le staff technique trouverait des solutions. Quel est votre avis sur les difficultés de Cannes ? J’avais eu quelques échos sur le recrutement, l’équipe était moins solide que par le passé. L’après-Ravva n’est pas simple à gérer. Cannes était en fin de cycle et a décidé de renouveler son effectif dans les grandes largeurs. De jeunes joueuses avec un fort potentiel sont arrivées, mais elles doivent encore s’adapter. C’est un pari sur l’avenir. Il faut cependant attendre un peu avant de les enterrer. A titre personnel, vous retrouvez la Ligue A avec appétit et émotion… Je suis vraiment aux anges. Je croque à pleines dents dans cette saison et dans nos matchs. J’aimerai simplement que notre travail et nos qualités paient davantage en terme de résultats. C’est la seule petite frustration que j’ai. On vaut bien mieux que notre classement actuel ! La Ligue A a-t-elle beaucoup changé depuis trois ans ? Le niveau est beaucoup plus homogène. Les équipes du bas de classement sont bien plus fortes que par le passé. J’ai surtout l’impression qu’aucune équipe ne va dominer le championnat comme Cannes il n’y a pas si longtemps que ça. Togo: le général Yark donne des précisions et appelle à ne pas céder à la panique. Huit (8) morts et 13 blessés, voilà le bilan macabre qu’ont enregistré les Forces de défense et de sécurité togolaises dans l’attaque terroriste de la nuit dernière. Une première dans l’histoire sécuritaire du Togo. Le général Damehame
S'il ne cache pas son inquiétude, Noël Le Graët appelle les acteurs du football à garder leur calme, en attendant une résolution du conflit entre Mediapro et la Ligue de football professionnel LFP. Dans un entretien au Parisien, le président de la FFF souligne tout de même les incidence d'un non paiement des droits TV sur le football sanitaire, huis clos, crise économique... comme tous les secteurs de la société, le football est fortement touché en ces temps de pandémie de coronavirus. D'autant que le conflit entre Mediapro et la Ligue de football professionnel LFP au sujet du versement des droits TV complique encore la situation. "Tout cela m'inquiète… Surtout que dans la somme globale promise par Mediapro, une partie doit revenir à la Fédération et donc à nos clubs amateurs, souligne Noël Le Graët dans Le Parisien. Si Mediapro ne paye pas ou si Canal + récupère les droits et paie moins, tout le monde sera en difficultés.""Quand tout redémarrera, les gens reviendront au stade et ça repartira""Mais il n'est pas encore l'heure de céder à la panique, poursuit le président de la Fédération française de football. On a encore un peu de temps devant nous. Mediapro n'a pas encore déposé le bilan ou déclaré qu'il arrêterait définitivement de payer. En tant que président de la Fédération, je demande donc à tout le monde de se calmer et d'attendre la fin du match."Jean-Pierre Caillot et les clubs professionnels réclament des aides supplémentaires pour surmonter la crise. "C'est vrai que les inquiétudes sont légitimes. Les clubs ont pris des engagements, ce qui était naturel car des ressources devaient arriver. Il faut pouvoir passer ce mauvais moment tous ensemble. Mais je vais peut-être en choquer certains en disant ça le foot français rebondira plus facilement que toutes ces PME en grosses difficultés. Quand tout redémarrera, les gens reviendront au stade et ça repartira", assure Noël Le Graët. Reste à savoir quand.
Legarder, c'est ne pas céder à la panique. À travers les astuces et les solutions que vous trouverez sur ce site, vous pourrez transmettre chaque indice de mots croisés. Cependant, en France, il n'y a pour l'instant pas d'épidémie et, surtout, il ne faut pas céder à la panique. Il est important de ce fait de garder en tête que tant que l’on n’a pas vendu ses titres, les pertes Si la situation liée au Covid-19 continue de se dégrader, les commerçants et les restaurateurs de La Roche-sur-Yon restent attentifs et espèrent un été sans restrictions. Par Pierre Barboteau Publié le 13 Juil 22 à 1208 mis à jour le 13 Juil 22 à 1208 Le Journal du Pays Yonnais Patrick, patron du 27 Raymond-Poincaré. ©Pierre BARBOTEAULa remontée vertigineuse des cas de Covid-19 en Vendée ces derniers jours laisse planer le doute et l’inquiétude chez les commerçants et les restaurateurs de La certains établissements font le choix de renforcer les mesures de protection face au virus, d’autres préfèrent, pour le moment, ne pas céder à la panique. Ils sont nombreux à ne pas avoir souhaité évoquer le sujet afin d’éviter la psychose », comme on a pu l’entendre à plusieurs retour du masqueInterrogée, la direction de la librairie Agora treize salariés, située rue Clemenceau, admet une forme de lassitude depuis deux ans », notamment sur la problématique du port du masque. On le met, ensuite on l’enlève, ça devient pénible pour tout le monde », assène le gérant. On voit que le Covid redémarre depuis quelques jours, on le ressent. Depuis une dizaine de jours, des clients reviennent avec le masque sur le nez, notamment les personnes âgées. » Certains salariés de la librairie ont aussi remis le masque au travail, mais pour le moment, nous n’avons pas imposé de règles. On va voir comment la situation évolue dans les prochaines semaines ».Toutefois, malgré la recrudescence des cas de Covid-19 dans le département, l’affluence est au rendez-vous à l’approche de l’été. Les années précédentes ont été tellement bizarres avec les fermetures et réouvertures de commerces. L’été, on travaille, car il y a un afflux touristique à La Roche-sur-Yon, qui sert de ville étape avant de se rendre sur le littoral. » Florian, gérant du magasin de chaussures Quartier Général, à La Roche-sur-Yon. ©Pierre BARBOTEAU Chacun est libre de faire ce qu’il veut »Aux abords de la place Napoléon, l’atmosphère parait un peu plus détendue, même si la prudence reste de mise. Florian, gérant du magasin de chaussures Quartier Général, n’a pas constaté de changement dans les habitudes et comportements des clients. Concernant le masque, chacun est libre de faire ce qu’il veut. Il y a toujours eu des gens qui gardaient le masque, même lorsque ce n’était plus obligatoire », souligne le son magasin, les plexiglas au niveau de la caisse et les gels hydroalcooliques à l’entrée de l’établissement n’ont jamais été retirés. On a pris le réflexe de les garder. Ceux qui veulent se protéger, se protègent et inversement. Je pense qu’on a assez obligé les gens pendant un moment, il faut les laisser tranquilles. »Vidéos en ce moment sur ActuUn regain de clientèle malgré le CovidDans les restaurants yonnais, on croise les doigts pour que le Covid ne gâche pas l’été. On espère et on s’attend à avoir un regain de la clientèle, c’était déjà le cas en juin. On a recruté des saisonniers en conséquence. On espère que la vague du Covid ne va pas tout freiner. Malgré le virus, on sent que les gens veulent venir au restaurant et profiter de leurs vacances », explique Alexandra, directrice adjointe de la brasserie Le Clem’, dans la rue Clemenceau. Très prisé, le restaurant compte en moyenne entre 200 et 300 couverts, chaque midi et soir. L’affluence y est grandissante depuis quelques semaines. Les touristes et les locaux sont présents, la clientèle étrangère commence à arriver. » Sont-ils plus méfiants par rapport au Covid ? Certains clients reprennent le masque alors que personne ne le portait il y a deux semaines. On voit que les gens remettent du gel, prennent leur distance ou évitent de se lever pour payer. Ils font de nouveau attention. » Le Clem’ redoute au plus haut point une fermeture comme il y a deux ans. S’il faut mettre des choses en place, on le fera. On sera là pour nos clients. On va voir au jour le jour et essayer de passer l’été au mieux. » On ne rattrapera jamais le retard »Un peu plus loin derrière la place de la Vendée, Patrick, gérant du bar-restaurant le 27 Raymond-Poincaré, ne remarque pas spécialement d’inquiétude de la part de ses clients. Très peu arrivent avec le masque sur le nez. Par contre, quand on observe la rue tous les jours, on voit de plus en plus de personnes masquées. Le centre-ville et nous, ce n’est pas la même ambiance. La façon de vivre des gens n’est pas la même. »Le patron observe toutefois une baisse générale du nombre de clients, en ce moment. La baisse des cartes de Tickets restaurant à 19 euros au lieu de 36, a fait du mal. On ne rattrapera jamais le retard d’il y a deux ans. On va travailler et voir comment ça se passe. On nous dit qu’une personne sur deux part en vacances cet été. Est-ce que les touristes auront un budget pour le restaurant ? On va croiser les doigts. » Cet article vous a été utile ? Sachez que vous pouvez suivre Le Journal du Pays Yonnais dans l’espace Mon Actu . En un clic, après inscription, vous y retrouverez toute l’actualité de vos villes et marques favorites.
Ilne faut pas céder à la psychose, à la peur et à la paranoïa, pour la simple raison que ces trois éléments fragilisent le système immunitaire. Alors que le coronavirus, comme bien d’autres maladies, s’attaquent au système immunitaire », a déclaré le préfet. Quiconque se nourrit de rumeurs, de peur, d’inquiétudes, interpelle-t-il, se fragilise. Il faut donc préserver ses
Photo 123RF À VOS AFFAIRES. Garder la tête froide est toujours recommandé, mais en période de crise, c'est plus important que jamais. Le stress supplémentaire dans un temps de crise peut provoquer des émotions qui doivent être contrôlées sous peine de prendre de mauvaises décisions. Les finances personnelles de la plupart d'entre nous sont et seront affectées par la pandémie mondiale de COVID-19. La diminution des revenus ou de la valeur des investissements peut justifier l'inquiétude des personnes touchées. Être inquiet est une chose, perdre la carte et prendre des décisions irrationnelles en est une autre. En ce moment, on ne connaît pas encore tous les dommages économiques que causera la crise. On sait cependant que les gouvernements voudront absorber, en bonne partie, les effets négatifs, ce qui coûtera une fortune. Malgré ces efforts, plusieurs personnes seront touchées très négativement. Il faut toutefois regarder la situation dans son ensemble. Une telle crise agit souvent comme un catalyseur ou un accélérateur, en provoquant ou en devançant des événements. C'est le cas pour les entreprises qui n'allaient pas très bien. La crise précipite leur fermeture. Dans ce cas, c'est possiblement une agonie raccourcie. Où est le bon côté ? L'effet catalyseur de la crise se fait sentir au sein de plusieurs entreprises qui créent des façons de faire qu'elles n'envisageaient pas. Même l'appareil gouvernemental voit ses processus chamboulés. Ces changements rendront plusieurs organisations plus efficaces. Il faut aussi savoir que, entre vous et moi, le virus SARS-CoV-2, celui qui cause la COVID-19, est loin d'être aussi dangereux que d'autres types, connus et inconnus. La crise actuelle aura été une bonne pratique générale» pour le jour où des acides nucléiques entourés de protéines sorties de nulle part détruiront tout sur leur passage. Dans quelques années, on verra sûrement que, finalement, on s'en est sortis, de façon globale. Les petites entreprises du Québec sont toutefois exploitées par des entrepreneurs créatifs à la couenne dure». Ces personnes auront rebondi. Les travailleurs autonomes les plus résilients auront passé à travers. Les employés ayant perdu leur travail auront été réembauchés, la situation de plein emploi, voire de manque de main-d'oeuvre, sera revenue. Pour ce qui est des plus grandes entreprises, elles auront aussi réembauché pour continuer leur croissance. Avoir confiance Si vous êtes un employé sans travail actuellement, vous devez avoir confiance qu'un employeur aura besoin de vos services après cette crise. L'ensemble des mesures mises en place par l'État visent à ce que vous puissiez vous en sortir indemne d'ici ce jour. Si vous êtes un travailleur autonome dont les activités sont assez perturbées pour mettre votre carrière en péril, les gouvernements ont mis en place des mesures de soutien financier d'urgence pour vous aider. Regardez toutes les sources de liquidités possibles dans votre entourage et accrochez-vous à l'espoir que cette crise sera terminée dans quelques mois. Les institutions financières et les services publics donnent aussi un répit à ceux qui en auront besoin pour traverser cette crise. Les marchés boursiers se relèveront et, dans un nombre de mois que je ne connais évidemment pas, auront repris toute la perte subie. À ce moment, certains diront qu'ils ont bien fait d'entrer dans le marché dans le pire de la crise. Tous ceux qui n'ont pas vendu leurs titres en panique se féliciteront d'être restés dans le marché et même ceux qui n'auront pas suivi avec frénésie la débâcle de leurs titres, mais choisi de faire des tartelettes et de se rapprocher virtuellement de leurs proches, auront de belles histoires à raconter à leurs petits-enfants... quand, un jour, on sera de fiers survivants de cette pandémie historique. Non, vraiment, la panique est inutile. Garder la tête froide et prendre des décisions qui limitent les dégâts» est la chose à faire, même si ce n'est pas nécessairement évident. Bonne chance dans cette crise. Onle sait, on le savait, ça se confirme, ça devient tendu, mais ne cédons pas à la panique. Il faut garder cette idée de vouloir jouer, de vouloir poser le

Accueil •Ajouter une définition •Dictionnaire •CODYCROSS •Contact •Anagramme Le garder, c'est ne pas céder à la panique — Solutions pour Mots fléchés et mots croisés Recherche - Solution Recherche - Définition © 2018-2019 Politique des cookies.

Netremblez pas et ne cédez pas à la panique devant vos ennemis ! Car l'Éternel votre Dieu marche lui-même avec vous il vous sauvera !". Le manque de courage, la peur sont des facteurs paralysants. Ils nous empêchent de nous 19 heures passées, Chérie FM résonne dans ma cuisine. Entre une page de pub et un tube des 10 commandements - "le dilemme", précisément -, un message signé Santé Public France et le ministère de la Santé à propos du déjà trop célèbre coronavirus déboule sur les ondes. Sans transition, de Daniel Lévi qui s'égosille aux mesures de précaution, j'ai jugé que l'heure était définitivement pour cause en France, plus de mille personnes sont infectées et 19 morts ont été confirmées. Les mesures pour contrer l'épidémie se multiplient nous sommes au "stade 2". Les annulations d'événements publics s'enchaînent, le gel hydroalcoolique connaît son heure de gloire - et son vivons au rythme des informations qui tombent, des morts déplorées, des contaminés toujours plus nombreux, le virus étant en pleine diffusion. Dans les transports en commun, on toise ceux qui toussent, qui reniflent, on s'éloigne des masqués - qui pourtant se protègent. On tente de se plier aux recommandations dispensées ici et là, comme celle de se tenir à un mètre les uns des autres dans les transports, surtout s'il y a des malades dans l'assistance. Allez dire ça à l'heure de pointe. Entre 8 et 9, le métro n'en a que faire du à défaut d'éviter tout être humain - et canidé - suspect, on se lave frénétiquement les mains. Et, parfois, on se demande et si c’était moi le prochain ? Coronavirus panique à bord Swann1, chef de projet dans l'industrie automobile, cède doucement à la panique. La faute au flot d'informations, mais aussi à l’entreprise. Car en plus des messages de prévention, ses collègues et lui ont été invités par leur direction à rentrer chez eux avec ordinateur portable et téléphone pro sous le bras chaque soir jusqu’à la fin du mois. Au cas où les transports seraient immobilisés. Une anticipation du stade 3 de l'épidémie qui dehors de la vie de bureau, la peur s'invite dans les familles. "Mon père ne veut pas que je parte en Croatie au mois de mai", s'agace Lucile, majeure et vaccinée - mais pas contre le coronavirus, malheureusement. Pour ce papa angoissé et très prévoyant, les aéroports sont des lieux à éviter en temps de les transports, Camille, 26 ans, a quant à elle créé le malaise sans le vouloir "Je me suis mouchée dans le métro, et l'enfant en face de moi a brandi son gel hydroalcoolique", confesse-t-elle. COVID-19, tous paranoïaques ? Quarantaine, mort, absence de traitement ou de vaccin, explosion décomplexée du racisme anti-asiatique, économie malmenée… Les conséquences de l’épidémie en cours génèrent de l’incertitude et du stress. Celui qui nous fait craindre pour sa santé et celle de ses proches. Celui qui peut conduire à des actes insensés comme vider le rayon pâtes et conserves du supermarché le plus proche ou chaparder masque et gel hydroalcoolique dans un hôpital… Pas en train de tomber dans la paranoïa ? "La peur peut entraîner de la paranoïa. Historiquement, on a été marqué par les événements comme la grippe espagnole, qui a fait des ravages. On en fait alors des généralités", constate le psychologue Sébastien Hof. "Aujourd'hui, ce qui est le plus fou, c'est que les actions qui protègent les citoyens accentuent le phénomène de peur, comme la fermeture des écoles ou des transports", ajoute le spécialiste. Si on s'empêche de vivre, on crée notre propre mort Côté gouvernement, on nous invite sans grande surprise à rester calme. "Il ne faut pas sombrer dans la psychose, nous connaissons les gestes barrières qui font qu’on n’est pas infecté ou qu’on réduit les potentialités d’infection", a voulu rassurer la porte-parole du gouvernement, Sibeth Ndiaye, sur France Inter. Plus facile à dire qu'à faire. Rationaliser l'épidémie Au beau milieu des recommandations pour préserver notre santé physique, qu'en est-il de notre santé mentale ? Comment rester émotionnellement rationnel alors que la peur gagne du terrain ?Cette dernière est “une émotion normale, légitime et habituelle. Il faut accepter son existence", souligne le psychologue. Il est nécessaire selon lui de prendre du recul sur soi, ainsi que sur l'actualité. "Si on s'empêche de vivre, on crée notre propre mort", analyse-t-il. C’est pourtant bien ce que l’on souhaite éviter !"Il est évidemment nécessaire de s’informer et de mettre en oeuvre les conseils de l'OMS, sans pour autant que cela ne devienne une obsession qui nous empêche de vivre normalement", abondent Benjamin Blasco, co-fondateur de l'application de méditation Petit BamBou et la psychiatre Dr Christine Barois Bambou, dans un communiqué de presse dédié. Inutile donc d’être branché 24h sur 24 sur BFM tenter de mettre de la distance avec nos émotions, "il est important de s'arrêter un moment et d'analyser le risque réel au calme, afin de prendre les mesures appropriées pour prévenir une infection potentielle, en évitant toute mesure exagérée ou erronée", rappellent-ils. Et quand une bouffée d’angoisse nous envahit, quelques petits exercices sont salutaires pour faire retomber la pression. Quels exercices pour apaiser le stress ? "Revenez au présent, conseille Petit Bambou et le Dr Barois. L’anxiété c’est anticiper de manière négative quelque chose qui ne va probablement pas arriver. ... il ne s’est encore rien passé et nous sommes embarqués dans des pensées négatives". "Observez le stress", préconisent dans un second temps les experts. Concentrez-vous ainsi sur vos ressentis corporels et accueillez votre peur comme une amie. "Prêtez attention à votre respiration. À tout moment de la journée, en particulier aux moments où vous êtes anxieux, dans les espaces publics par exemple, sentez comment le souffle traverse votre corps, de la tête aux pieds". Cet exercice permet de se recentrer sur vous-même, sur l'ici et le maintenant. "Limitez les sources d’information anxiogènes et concentrez-vous sur une activité qui requiert de l'attention. Faites une pause dans l'actualité et consacrez du temps à toute activité qui vous plaît". Les experts conseillent également de se focaliser sur ce que l'on peut contrôler. Personne ne peut prédire l'avenir de l'épidémie mais, par contre, vous pouvez respecter les mesures qui limitent sa propagation se laver les mains, tousser dans son coude, surveiller d'éventuels symptômes... Enfin, la pratique de la méditation est recommandée pour réduire et apprivoiser l'anxiété. Si ces exercices ne fonctionnent pas et que votre stress est trop important - c'est-à-dire s'il nuit à votre concentration, perturbe votre sommeil ou vos habitudes -, il est important de demander l'aide d'un professionnel. Pour rappel, il existe des gestes simples2 pour préserver votre santé et celle de votre entourage Se laver les mains très régulièrement. Tousser ou éternuer dans son coude. Saluer sans se serrer la main, éviter les embrassades Utiliser des mouchoirs à usage unique. Porter un masque quand on est malade sur prescription médicale. Sur ce, je retourne à mon tuto pour fabriquer soi-même du gel antibactérien pour les mains. 1Le prénom a été changé2Source
Léquipe de Cyril Wozniak glisse doucement dans le bas du classement, à la 9e place. Lucide et clairvoyante, la c Lucide et clairvoyante, la c Après deux belles victoires initiales contre Le Cannet, puis Istres, le Vandœuvre Nancy Volley-Ball (VNVB) marque le pas et reste sur cinq revers de suite toutes compétitions confondues.
International Pour Hosni Djemmali, président et fondateur du groupe hôtelier Sangho, il est prématuré d'envisager une chute des réservations cette saison. Vue du village d'Erriadh, sur l'île de Djerba, le 7 août 2014. Photo d'illustration. © AFP/Joel Saget L'attentat contre le musée du Bardo à Tunis porte un nouveau coup à l'activité touristique déjà lourdement fragilisée par la révolution de Jasmin en 2011. Le secteur, un des principaux moteurs de l'économie du pays, génère 7 % du PIB, selon l'office de tourisme tunisien. Cette manne fait aussi vivre un dixième de la population 400 000 emplois directs, générant entre 18 et 20 % des recettes en devises par an. Essentiellement familial ou de groupe, le tourisme a un effet d'entraînement sur une grande partie des autres secteurs économiques, le commerce bien sûr, mais aussi les transports, le bâtiment, l'artisanat, les communications et même l'agriculture. Malgré la renommée de stations balnéaires comme Hammamet ou Sfax, d'une île comme Djerba, et de villes au riche patrimoine historique Kairouan, Nabeul, Sousse, le nombre de touristes venus en Tunisie a enregistré l'an passé une baisse de 3,2 %, passant de 6,27 à 6,07 millions en un an, selon des chiffres communiqués fin janvier par le ministère tunisien du Tourisme. En comparaison, il y a cinq ans, la Tunisie recevait encore près de 7 millions de touristes étrangers, dont 1,4 million de Français. Quelles sont les conséquences du terrorisme pour une économie déjà fragilisée ? Éléments de réponse avec Hosni Djemmali, président et fondateur du groupe hôtelier Sangho présent notamment à Djerba et Zarzis. Le Redoutez-vous des conséquences économiques après l'attaque qui a visé mercredi le musée du Bardo ? Hosni Djemmali La reprise des séjours que nous avions notée depuis le début de l'année, notamment de la part de touristes allemands, italiens et britanniques, risque peut-être d'être compromise et le repli de pays comme la France pourrait s'accentuer, mais rien n'est certain. Il n'y a qu'à voir l'élan de solidarité qui s'est levé depuis mercredi. Les gens nous expriment leur amitié et leur affection en nous disant "Nous allons venir en Tunisie. C'est un beau pied de nez aux terroristes. Ces gens ne peuvent pas nous détruire." Avez-vous noté des annulations depuis l'attaque ? Non. Il est prématuré de dire que la saison est compromise. Depuis quelques années, les réservations se font de plus en plus tardivement. En outre, les touristes actuellement présents en Tunisie n'ont pas l'intention de rentrer, ils ne cèdent pas à la panique, c'est pour nous le meilleur témoignage de leur solidarité. La Tunisie est-elle capable de faire face à la menace terroriste ? Je le crois. À ceux qui me demandent si la Tunisie est un pays sûr, je réponds La France est-elle un pays sûr ? Nous sommes tous menacés. Plus que jamais, la Tunisie reste vigilante sur le plan de la sécurité. Des pays amis sont disposés à nous aider, en particulier la France et les États-Unis, face à la menace djihadiste. Le peuple tunisien est aussi une force dans cette lutte contre l'intégrisme. Il l'a prouvé dès mercredi en descendant dans la rue pour montrer sa volonté farouche de dire non à la barbarie. Je m'abonne Tous les contenus du Point en illimité Vous lisez actuellement Attentat de Tunis "Les touristes ne cèdent pas à la panique" 3 Commentaires Commenter Vous ne pouvez plus réagir aux articles suite à la soumission de contributions ne répondant pas à la charte de modération du Point.
LeGarder C’est Ne Pas Céder À La Panique ; Peur Panique Pris De Panique Prise De Panique Cest La Panique Panique Sur Scene Prises De Panique Peuvent Mener A La Panique; Panique De Star; Fuite Desordonnee Due A Une Panique; Terreur Panique; Etat De Panique Collective; C Est La Panique; Moment De Panique; Panique; Creer La Panique; Elle Seme
PÉDOPHILIE • Un comité dénonce le caractère excessif de l’initiative de la Marche blanche. Il est rejoint par le psychologue Philipp Jaffé. Interview.
aTd9.
  • k7u7kimxpt.pages.dev/477
  • k7u7kimxpt.pages.dev/338
  • k7u7kimxpt.pages.dev/156
  • k7u7kimxpt.pages.dev/451
  • k7u7kimxpt.pages.dev/407
  • k7u7kimxpt.pages.dev/473
  • k7u7kimxpt.pages.dev/394
  • k7u7kimxpt.pages.dev/14
  • le garder c est ne pas cĂ©der Ă  la panique