S'il ne cache pas son inquiétude, Noël Le Graët appelle les acteurs du football à garder leur calme, en attendant une résolution du conflit entre Mediapro et la Ligue de football professionnel LFP. Dans un entretien au Parisien, le président de la FFF souligne tout de même les incidence d'un non paiement des droits TV sur le football sanitaire, huis clos, crise économique... comme tous les secteurs de la société, le football est fortement touché en ces temps de pandémie de coronavirus. D'autant que le conflit entre Mediapro et la Ligue de football professionnel LFP au sujet du versement des droits TV complique encore la situation. "Tout cela m'inquiète… Surtout que dans la somme globale promise par Mediapro, une partie doit revenir à la Fédération et donc à nos clubs amateurs, souligne Noël Le Graët dans Le Parisien. Si Mediapro ne paye pas ou si Canal + récupère les droits et paie moins, tout le monde sera en difficultés.""Quand tout redémarrera, les gens reviendront au stade et ça repartira""Mais il n'est pas encore l'heure de céder à la panique, poursuit le président de la Fédération française de football. On a encore un peu de temps devant nous. Mediapro n'a pas encore déposé le bilan ou déclaré qu'il arrêterait définitivement de payer. En tant que président de la Fédération, je demande donc à tout le monde de se calmer et d'attendre la fin du match."Jean-Pierre Caillot et les clubs professionnels réclament des aides supplémentaires pour surmonter la crise. "C'est vrai que les inquiétudes sont légitimes. Les clubs ont pris des engagements, ce qui était naturel car des ressources devaient arriver. Il faut pouvoir passer ce mauvais moment tous ensemble. Mais je vais peut-être en choquer certains en disant ça le foot français rebondira plus facilement que toutes ces PME en grosses difficultés. Quand tout redémarrera, les gens reviendront au stade et ça repartira", assure Noël Le Graët. Reste à savoir quand.Legarder, c'est ne pas céder à la panique. À travers les astuces et les solutions que vous trouverez sur ce site, vous pourrez transmettre chaque indice de mots croisés. Cependant, en France, il n'y a pour l'instant pas d'épidémie et, surtout, il ne faut pas céder à la panique. Il est important de ce fait de garder en tête que tant que l’on n’a pas vendu ses titres, les pertes Si la situation liée au Covid-19 continue de se dégrader, les commerçants et les restaurateurs de La Roche-sur-Yon restent attentifs et espèrent un été sans restrictions. Par Pierre Barboteau Publié le 13 Juil 22 à 1208 mis à jour le 13 Juil 22 à 1208 Le Journal du Pays Yonnais Patrick, patron du 27 Raymond-Poincaré. ©Pierre BARBOTEAULa remontée vertigineuse des cas de Covid-19 en Vendée ces derniers jours laisse planer le doute et l’inquiétude chez les commerçants et les restaurateurs de La certains établissements font le choix de renforcer les mesures de protection face au virus, d’autres préfèrent, pour le moment, ne pas céder à la panique. Ils sont nombreux à ne pas avoir souhaité évoquer le sujet afin d’éviter la psychose », comme on a pu l’entendre à plusieurs retour du masqueInterrogée, la direction de la librairie Agora treize salariés, située rue Clemenceau, admet une forme de lassitude depuis deux ans », notamment sur la problématique du port du masque. On le met, ensuite on l’enlève, ça devient pénible pour tout le monde », assène le gérant. On voit que le Covid redémarre depuis quelques jours, on le ressent. Depuis une dizaine de jours, des clients reviennent avec le masque sur le nez, notamment les personnes âgées. » Certains salariés de la librairie ont aussi remis le masque au travail, mais pour le moment, nous n’avons pas imposé de règles. On va voir comment la situation évolue dans les prochaines semaines ».Toutefois, malgré la recrudescence des cas de Covid-19 dans le département, l’affluence est au rendez-vous à l’approche de l’été. Les années précédentes ont été tellement bizarres avec les fermetures et réouvertures de commerces. L’été, on travaille, car il y a un afflux touristique à La Roche-sur-Yon, qui sert de ville étape avant de se rendre sur le littoral. » Florian, gérant du magasin de chaussures Quartier Général, à La Roche-sur-Yon. ©Pierre BARBOTEAU Chacun est libre de faire ce qu’il veut »Aux abords de la place Napoléon, l’atmosphère parait un peu plus détendue, même si la prudence reste de mise. Florian, gérant du magasin de chaussures Quartier Général, n’a pas constaté de changement dans les habitudes et comportements des clients. Concernant le masque, chacun est libre de faire ce qu’il veut. Il y a toujours eu des gens qui gardaient le masque, même lorsque ce n’était plus obligatoire », souligne le son magasin, les plexiglas au niveau de la caisse et les gels hydroalcooliques à l’entrée de l’établissement n’ont jamais été retirés. On a pris le réflexe de les garder. Ceux qui veulent se protéger, se protègent et inversement. Je pense qu’on a assez obligé les gens pendant un moment, il faut les laisser tranquilles. »Vidéos en ce moment sur ActuUn regain de clientèle malgré le CovidDans les restaurants yonnais, on croise les doigts pour que le Covid ne gâche pas l’été. On espère et on s’attend à avoir un regain de la clientèle, c’était déjà le cas en juin. On a recruté des saisonniers en conséquence. On espère que la vague du Covid ne va pas tout freiner. Malgré le virus, on sent que les gens veulent venir au restaurant et profiter de leurs vacances », explique Alexandra, directrice adjointe de la brasserie Le Clem’, dans la rue Clemenceau. Très prisé, le restaurant compte en moyenne entre 200 et 300 couverts, chaque midi et soir. L’affluence y est grandissante depuis quelques semaines. Les touristes et les locaux sont présents, la clientèle étrangère commence à arriver. » Sont-ils plus méfiants par rapport au Covid ? Certains clients reprennent le masque alors que personne ne le portait il y a deux semaines. On voit que les gens remettent du gel, prennent leur distance ou évitent de se lever pour payer. Ils font de nouveau attention. » Le Clem’ redoute au plus haut point une fermeture comme il y a deux ans. S’il faut mettre des choses en place, on le fera. On sera là pour nos clients. On va voir au jour le jour et essayer de passer l’été au mieux. » On ne rattrapera jamais le retard »Un peu plus loin derrière la place de la Vendée, Patrick, gérant du bar-restaurant le 27 Raymond-Poincaré, ne remarque pas spécialement d’inquiétude de la part de ses clients. Très peu arrivent avec le masque sur le nez. Par contre, quand on observe la rue tous les jours, on voit de plus en plus de personnes masquées. Le centre-ville et nous, ce n’est pas la même ambiance. La façon de vivre des gens n’est pas la même. »Le patron observe toutefois une baisse générale du nombre de clients, en ce moment. La baisse des cartes de Tickets restaurant à 19 euros au lieu de 36, a fait du mal. On ne rattrapera jamais le retard d’il y a deux ans. On va travailler et voir comment ça se passe. On nous dit qu’une personne sur deux part en vacances cet été. Est-ce que les touristes auront un budget pour le restaurant ? On va croiser les doigts. » Cet article vous a été utile ? Sachez que vous pouvez suivre Le Journal du Pays Yonnais dans l’espace Mon Actu . En un clic, après inscription, vous y retrouverez toute l’actualité de vos villes et marques favorites.
Accueil •Ajouter une définition •Dictionnaire •CODYCROSS •Contact •Anagramme Le garder, c'est ne pas céder à la panique — Solutions pour Mots fléchés et mots croisés Recherche - Solution Recherche - Définition © 2018-2019 Politique des cookies.
Netremblez pas et ne cédez pas à la panique devant vos ennemis ! Car l'Éternel votre Dieu marche lui-même avec vous il vous sauvera !". Le manque de courage, la peur sont des facteurs paralysants. Ils nous empêchent de nous 19 heures passées, Chérie FM résonne dans ma cuisine. Entre une page de pub et un tube des 10 commandements - "le dilemme", précisément -, un message signé Santé Public France et le ministère de la Santé à propos du déjà trop célèbre coronavirus déboule sur les ondes. Sans transition, de Daniel Lévi qui s'égosille aux mesures de précaution, j'ai jugé que l'heure était définitivement pour cause en France, plus de mille personnes sont infectées et 19 morts ont été confirmées. Les mesures pour contrer l'épidémie se multiplient nous sommes au "stade 2". Les annulations d'événements publics s'enchaînent, le gel hydroalcoolique connaît son heure de gloire - et son vivons au rythme des informations qui tombent, des morts déplorées, des contaminés toujours plus nombreux, le virus étant en pleine diffusion. Dans les transports en commun, on toise ceux qui toussent, qui reniflent, on s'éloigne des masqués - qui pourtant se protègent. On tente de se plier aux recommandations dispensées ici et là , comme celle de se tenir à un mètre les uns des autres dans les transports, surtout s'il y a des malades dans l'assistance. Allez dire ça à l'heure de pointe. Entre 8 et 9, le métro n'en a que faire du à défaut d'éviter tout être humain - et canidé - suspect, on se lave frénétiquement les mains. Et, parfois, on se demande et si c’était moi le prochain ? Coronavirus panique à bord Swann1, chef de projet dans l'industrie automobile, cède doucement à la panique. La faute au flot d'informations, mais aussi à l’entreprise. Car en plus des messages de prévention, ses collègues et lui ont été invités par leur direction à rentrer chez eux avec ordinateur portable et téléphone pro sous le bras chaque soir jusqu’à la fin du mois. Au cas où les transports seraient immobilisés. Une anticipation du stade 3 de l'épidémie qui dehors de la vie de bureau, la peur s'invite dans les familles. "Mon père ne veut pas que je parte en Croatie au mois de mai", s'agace Lucile, majeure et vaccinée - mais pas contre le coronavirus, malheureusement. Pour ce papa angoissé et très prévoyant, les aéroports sont des lieux à éviter en temps de les transports, Camille, 26 ans, a quant à elle créé le malaise sans le vouloir "Je me suis mouchée dans le métro, et l'enfant en face de moi a brandi son gel hydroalcoolique", confesse-t-elle. COVID-19, tous paranoïaques ? Quarantaine, mort, absence de traitement ou de vaccin, explosion décomplexée du racisme anti-asiatique, économie malmenée… Les conséquences de l’épidémie en cours génèrent de l’incertitude et du stress. Celui qui nous fait craindre pour sa santé et celle de ses proches. Celui qui peut conduire à des actes insensés comme vider le rayon pâtes et conserves du supermarché le plus proche ou chaparder masque et gel hydroalcoolique dans un hôpital… Pas en train de tomber dans la paranoïa ? "La peur peut entraîner de la paranoïa. Historiquement, on a été marqué par les événements comme la grippe espagnole, qui a fait des ravages. On en fait alors des généralités", constate le psychologue Sébastien Hof. "Aujourd'hui, ce qui est le plus fou, c'est que les actions qui protègent les citoyens accentuent le phénomène de peur, comme la fermeture des écoles ou des transports", ajoute le spécialiste. Si on s'empêche de vivre, on crée notre propre mort Côté gouvernement, on nous invite sans grande surprise à rester calme. "Il ne faut pas sombrer dans la psychose, nous connaissons les gestes barrières qui font qu’on n’est pas infecté ou qu’on réduit les potentialités d’infection", a voulu rassurer la porte-parole du gouvernement, Sibeth Ndiaye, sur France Inter. Plus facile à dire qu'à faire. Rationaliser l'épidémie Au beau milieu des recommandations pour préserver notre santé physique, qu'en est-il de notre santé mentale ? Comment rester émotionnellement rationnel alors que la peur gagne du terrain ?Cette dernière est “une émotion normale, légitime et habituelle. Il faut accepter son existence", souligne le psychologue. Il est nécessaire selon lui de prendre du recul sur soi, ainsi que sur l'actualité. "Si on s'empêche de vivre, on crée notre propre mort", analyse-t-il. C’est pourtant bien ce que l’on souhaite éviter !"Il est évidemment nécessaire de s’informer et de mettre en oeuvre les conseils de l'OMS, sans pour autant que cela ne devienne une obsession qui nous empêche de vivre normalement", abondent Benjamin Blasco, co-fondateur de l'application de méditation Petit BamBou et la psychiatre Dr Christine Barois Bambou, dans un communiqué de presse dédié. Inutile donc d’être branché 24h sur 24 sur BFM tenter de mettre de la distance avec nos émotions, "il est important de s'arrêter un moment et d'analyser le risque réel au calme, afin de prendre les mesures appropriées pour prévenir une infection potentielle, en évitant toute mesure exagérée ou erronée", rappellent-ils. Et quand une bouffée d’angoisse nous envahit, quelques petits exercices sont salutaires pour faire retomber la pression. Quels exercices pour apaiser le stress ? "Revenez au présent, conseille Petit Bambou et le Dr Barois. L’anxiété c’est anticiper de manière négative quelque chose qui ne va probablement pas arriver. ... il ne s’est encore rien passé et nous sommes embarqués dans des pensées négatives". "Observez le stress", préconisent dans un second temps les experts. Concentrez-vous ainsi sur vos ressentis corporels et accueillez votre peur comme une amie. "Prêtez attention à votre respiration. À tout moment de la journée, en particulier aux moments où vous êtes anxieux, dans les espaces publics par exemple, sentez comment le souffle traverse votre corps, de la tête aux pieds". Cet exercice permet de se recentrer sur vous-même, sur l'ici et le maintenant. "Limitez les sources d’information anxiogènes et concentrez-vous sur une activité qui requiert de l'attention. Faites une pause dans l'actualité et consacrez du temps à toute activité qui vous plaît". Les experts conseillent également de se focaliser sur ce que l'on peut contrôler. Personne ne peut prédire l'avenir de l'épidémie mais, par contre, vous pouvez respecter les mesures qui limitent sa propagation se laver les mains, tousser dans son coude, surveiller d'éventuels symptômes... Enfin, la pratique de la méditation est recommandée pour réduire et apprivoiser l'anxiété. Si ces exercices ne fonctionnent pas et que votre stress est trop important - c'est-à -dire s'il nuit à votre concentration, perturbe votre sommeil ou vos habitudes -, il est important de demander l'aide d'un professionnel. Pour rappel, il existe des gestes simples2 pour préserver votre santé et celle de votre entourage Se laver les mains très régulièrement. Tousser ou éternuer dans son coude. Saluer sans se serrer la main, éviter les embrassades Utiliser des mouchoirs à usage unique. Porter un masque quand on est malade sur prescription médicale. Sur ce, je retourne à mon tuto pour fabriquer soi-même du gel antibactérien pour les mains. 1Le prénom a été changé2SourceLéquipe de Cyril Wozniak glisse doucement dans le bas du classement, à la 9e place. Lucide et clairvoyante, la c Lucide et clairvoyante, la c Après deux belles victoires initiales contre Le Cannet, puis Istres, le Vandœuvre Nancy Volley-Ball (VNVB) marque le pas et reste sur cinq revers de suite toutes compétitions confondues.