Astuce: Ne vous contentez pas de dire Ă  votre conjoint l’affection que vous avez pour lui. Écrivez- lui des petits mots, des e-mails ou des textos. Montrez votre affection en actions. En prenant votre conjoint dans vos bras, en l’embrassant ou simplement en lui tenant la main, vous lui montrez que vous ĂȘtes sincĂšre quand vous lui dites

Trouver son indĂ©pendance financiĂšre, c'est aussi acquĂ©rir une indĂ©pendance affective vis-Ă -vis de ses parents. Getty Images/Blend Images Tout parent d'adolescent flirtant avec la majoritĂ©, voire l'ayant dĂ©passĂ©e, s'est posĂ© cette question Ă  partir de quand refuser d'entretenir son enfant? Quand sonner la fin du sacro-saint argent de poche? Comment aider cet adulte en devenir Ă  s'assumer totalement, sans pour autant lui donner l'impression qu'on l'abandonne? Le problĂšme est dĂ©licat, tant l'argent est en soi un symbole aux multiples facettes. Entre les enfants qui utilisent cette dĂ©pendance comme prĂ©texte pour ne pas grandir, les parents qui, mĂȘme inconsciemment, se servent de cette aide financiĂšre pour garder leur "petit" dans leur giron et la situation Ă©conomique actuelle qui rend l'Ă©mancipation ardue, difficile de donner des rĂ©ponses dĂ©finitives. Une adolescence de plus en plus tardive Une rĂ©cente Ă©tude menĂ©e par des chercheurs de l'universitĂ© de Melbourne affirme d'ailleurs que l'adolescence prendrait fin vers 24 ans et non 19, comme il est communĂ©ment admis. Ce qui pourrait expliquer qu'autant de jeunes aient besoin d'un soutien parental mĂȘme aprĂšs 20 ans. Offre limitĂ©e. 2 mois pour 1€ sans engagement Quoi qu'il en soit, prĂ©parer son enfant Ă  devenir autonome financiĂšrement est essentiel et devrait se faire en amont. De façon Ă  ne pas se retrouver soudainement contraint de "couper les vivres", initiative Ă©minemment violente psychologiquement, pour les enfants mais aussi leurs parents. LIRE AUSSI >> Mon enfant est un Tanguy comment s'en dĂ©barrasser? "J'ai l'impression qu'elle se rassure en nous demandant encore de l'aide"Sandrine, dont les enfants, NoĂ© et Manon, ont respectivement 18 et 23 ans, est en plein questionnement sur le sujet. "Ma fille vient de terminer un IUT en communication et a trouvĂ© assez rapidement du travail. Son salaire est modeste, mais nous habitons dans une petite ville oĂč les loyers sont corrects. Elle a, objectivement, les moyens de subvenir Ă  ses besoins. Ce qui ne l'empĂȘche pas, par exemple, de trouver normal que je continue Ă  lui payer ses billets de train ou certains habits. J'ai l'impression qu'elle se rassure en nous demandant encore de l'aide. Comme si elle Ă©tait encore notre bĂ©bĂ©." Jonathan, 24 ans, dĂ©pend quant Ă  lui encore "totalement" de ses parents, confie sa mĂšre, Christine. "Il a fait de longues Ă©tudes et pour l'instant, il enchaĂźne les stages non rĂ©munĂ©rĂ©s. Nous aimerions, son pĂšre et moi, qu'il s'assume, mais on ne peut pas le laisser s'en sortir avec une allocation de stage qui ne couvre mĂȘme pas son loyer." Une autonomisation de plus en plus compliquĂ©eDes situations de plus en plus frĂ©quentes, constate Maria Hejnar, psychologue clinicienne spĂ©cialisĂ©e notamment dans les problĂ©matiques adolescentes. "La dĂ©pendance financiĂšre des jeunes Ă  l'Ă©gard de leurs parents s'allonge depuis les annĂ©es 1980 du fait du prolongement des Ă©tudes et des crises Ă©conomiques qui retardent l'entrĂ©e dans le monde du travail", explique-t-elle en prĂ©ambule. "Ces facteurs prolongent la cohabitation des jeunes adultes avec leurs parents et donc leur dĂ©pendance Ă©conomique. Beaucoup de jeunes adultes qui travaillent dĂ©jĂ , Ă  la suite de l'augmentation du coĂ»t de la vie, des dĂ©penses courantes prix du logement, de l'Ă©nergie, ne sont par ailleurs pas en mesure de faire face Ă  l'ensemble de leurs dĂ©penses par leurs seuls revenus." Rien de plus normal alors que les parents prennent le relais pour les protĂ©ger de l'endettement. Pour Maria Hejnar, ces difficultĂ©s compliquent l'autonomisation de l'adolescent et peuvent provoquer des angoisses chez lui mais aussi chez ses parents. "Le rĂŽle des parents consiste Ă  encourager les tentatives d'Ă©mancipation de leur enfant. Mais les parents qui sont eux-mĂȘmes anxieux auront du mal Ă  aider l'enfant Ă  se projeter dans l'avenir. Cette attitude, souvent inconsciente, va freiner l'autonomisation du jeune", constate la psychologue. L'autonomie financiĂšre est souvent liĂ©e Ă  l'autonomie affectivePar ailleurs, observe Maria Hejnar, "certains jeunes Ă©prouvent une difficultĂ© Ă  se sĂ©parer de leur famille". Le fameux syndrome de Peter Pan, rebaptisĂ© "Tanguy" depuis le film Ă©ponyme d'Etienne Chatilliez. En cause, souvent, un sentiment d'insĂ©curitĂ© intĂ©rieure qui rend l'indĂ©pendance matĂ©rielle compliquĂ©e. "L'autonomie physique et Ă©conomique est liĂ©e Ă  l'autonomie affective. Et cette derniĂšre dĂ©pend de la qualitĂ© des relations entre l'adolescent et ses parents Ă©tablies dans l'enfance", explique la psychologue. Et de rappeler que le dĂ©sir d'autonomie est naturel et normalement impĂ©rieux chez un adolescent ou un jeune adulte. "S'il n'y arrive pas, c'est qu'il ne s'en sent pas capable et qu'il a peur." C'est par consĂ©quent d'avantage ce point qu'il est souhaitable de discuter avec son "Tanguy" l'interroger sur les raisons qui l'empĂȘchent de se lancer et de couper ce cordon symbolique. Plus efficace sans doute qu'un refus soudain de subvenir Ă  ses besoins. LIRE AUSSI >> Le syndrome du nid vide comment se prĂ©parer au dĂ©part de ses enfants? "Etre parent, ça n'a pas de durĂ©e limitĂ©e dans le temps" Parfois, les parents ne sont pas totalement dĂ©nuĂ©s d'ambivalence non plus. Quelle mĂšre ou quel pĂšre n'a pas redoutĂ© le fameux "nid vide"? Qui n'a pas, sans le vouloir, proposĂ© Ă  son enfant de l'aider ou glissĂ© un petit billet dans sa main quand il repart aprĂšs le dĂ©jeuner du dimanche, pour le simple plaisir de lui ĂȘtre encore utile? Myriam, 50 ans, confesse ne pas savoir rĂ©sister aux demandes de son fils de 25 ans, voire les devancer. "Mon mari trouve qu'il exagĂšre d'accepter notre argent alors qu'il gagne dĂ©sormais sa vie. Mais j'avoue que j'aime l'idĂ©e qu'il ait encore besoin de moi et je cĂšde Ă  tous les coups. J'estime qu'ĂȘtre parent, ça n'a pas de durĂ©e limitĂ©e dans le temps." Un sentiment comprĂ©hensible et une aide qui n'est pas forcĂ©ment dommageable tant qu'elle ne maintient pas le jeune adulte dans un Ă©tat de dĂ©pendance. Les parents de ThĂ©o, 22 ans, s'inquiĂštent ainsi de voir leur fils titulaire d'un BTS commercial chercher "trĂšs mollement" du travail et considĂ©rer comme normal d'ĂȘtre "entretenu" alors qu'il n'est plus un enfant. "On a dĂ» rater quelque chose et lui faire croire qu'on allait l'entretenir toute sa vie", raille son pĂšre, plus inquiet qu'il n'y paraĂźt. Accompagner l'enfant vers l'autonomie dĂšs l'adolescenceCette rĂ©ticence Ă  prendre son envol est peut-ĂȘtre le signe d'un manque d'accompagnement durant l'enfance puis l'adolescence. Plusieurs gestes apparemment anodins peuvent en effet ĂȘtre dĂ©terminants, tels que l'obtention des clefs de la maison, les sorties non accompagnĂ©es, le fait d'aller seul au collĂšge. Autant de petits pas qui prĂ©parent le futur dĂ©part du nid familial. L'argent de poche fait Ă©galement partie de cet arsenal. Sachant que pour que cette somme allouĂ©e mensuellement Ă  l'enfant ait une portĂ©e pĂ©dagogique, il faut, en tant que parent, prendre une certaine distance par rapport aux dĂ©penses que l'enfant fera avec. C'est en accordant cette confiance qu'on le valorise, qu'on lui donne confiance en lui et qu'on lui fait goĂ»ter Ă  cette ivresse de l'autonomie. "C'est plus responsabilisant que de donner de l'argent Ă  la demande, qui induit une volontĂ© de contrĂŽle des parents sur ce qui sera fait de cette somme", estime Maria Hejnar. L'Ă©tape suivante consiste Ă  allouer Ă  l'adolescent un budget mensuel, avec Ă©ventuellement l'ouverture d'un compte en banque qui permet une gestion autonome de l'argent. "L'argent de poche se transforme en budget souvent Ă  l'occasion du dĂ©part de la maison pour faire des Ă©tudes. L'adolescent le gĂšre seul. C'est un apprentissage de la gestion Ă©conomique, avec des erreurs et des accidents possibles, nĂ©cessitant une comprĂ©hension de la part des parents", suggĂšre Maria Hejnar. Une transition en douceur, qui, si tout va bien, prĂ©pare le jeune adulte Ă  voler ensuite de ses propres ailes. Caroline Franc Desages Les plus lus OpinionsTribunePar Carlo Ratti*ChroniquePar Antoine BuĂ©no*ChroniqueJean-Laurent Cassely

Leschats apprendront facilement le son de leur nom et viendront quand vous les appellerez, mĂȘme s'ils sont occupĂ©s Ă  faire autre chose. De plus, les chats sont trĂšs intelligents et apprendront rapidement une variĂ©tĂ© de mots incluant "cadeaux", "dĂźner" et "dehors". Apprendre Ă  votre chat Ă  s'asseoir, se coucher et mĂȘme rapporter
Un enfant prĂ©coce est difficile Ă  gĂ©rer au quotidien car son hypersensibilitĂ© peut engendrer des rĂ©actions violentes et bruyantes. Voici quelques pistes pour l’aider Ă  maĂźtriser ses Ă©motions, et vous aider Ă  l’accompagner et Ă  le journĂ©e nationale de l’hypersensibilitĂ©, ce 13 janvier, est l’occasion de partager des tĂ©moignages de parents d’enfants hypersensibles. Ils confient leurs vĂ©cus, leurs difficultĂ©s, et leurs mĂ©thodes afin de calmer et rassurer des enfants surdouĂ©s. IntolĂ©rant Ă  la frustration, acceptant mal les cadres et les limites, discutant tout et tout le temps, nĂ©gociant la moindre consigne, l’enfant surdouĂ© est un enfant Ă©puisant. Cependant, pour la psychologue Jeanne Siaud-Facchin, spĂ©cialiste des enfants prĂ©coces, poser un cadre et des limites, est une nĂ©cessitĂ© vitale pour leur dĂ©veloppement affectif, et le seul moyen d’éviter l’escalade des conflits la majoritĂ© des cas, leur extrĂȘme sensibilitĂ© les rend rĂ©actifs Ă  d’infimes variations Ă©motionnelles de leur environnement. Cela les conduit Ă  des rĂ©actions Ă©motives violentes et excessives. ValĂ©rie, 41 ans, mĂšre de 6 enfants, tĂ©moigne Mes enfants sont tous hypersensibles mais ne rĂ©agissent pas tous de la mĂȘme maniĂšre
 L’aĂźnĂ©, bientĂŽt 10 ans et testĂ© surdouĂ©, fait encore des crises de rage. Si c’est en rĂ©action Ă  une parole ou une action de ses frĂšres, il crie, et si cela ne suffit pas, il tape. Si c’est contre moi, il hurle. Mon deuxiĂšme fils 8 ans hurle, puis file se calmer dans sa chambre. Il dit des gros mots lorsqu’il n’arrive plus Ă  gĂ©rer
 Mon troisiĂšme garçon 5 ans pleure et a besoin de cĂąlins. C’est le seul que j’arrive Ă  aider quand il est en crise
 Personnellement, c’est peut-ĂȘtre l’aspect du HP haut potentiel le plus difficile Ă  gĂ©rer au quotidien dans une grande fratrie, car les occasions ne manquent pas
 ».Lire aussi A quoi reconnaĂźt-on un enfant prĂ©coce ?1Les raisons de leurs emportementsVoici quelques pistes fournies par la psychologue Jeanne Siaud-Facchin dans son livre L’Enfant surdouĂ©, afin d’expliquer pourquoi leurs rĂ©actions sont aussi ne supportent pas la frustrationDe leur part, rĂ©agir violemment Ă  la frustration n’est pas le fruit d’un caprice mais plutĂŽt l’expression d’un sentiment d’insĂ©curitĂ©. DiffĂ©rer un plaisir ou une satisfaction revient, pour eux, Ă  laisser la place au doute et Ă  l’incertitude. La distance entre l’envie et la satisfaction de cette envie est un temps dans lequel tout peut ne savent pas attendreIl faut que les choses se passent immĂ©diatement, sinon, l’insĂ©curitĂ© les envahit. Les crises peuvent ĂȘtre d’autant plus intenses et frĂ©quentes que leur demande est forte demande matĂ©rielle, demande affective, demande de disponibilitĂ©, demande de service
 Le moindre dĂ©lai peut entraĂźner des rĂ©actions violentes colĂšre, claquements de portes, menaces, chantage, se rouler par terre
Ils cherchent oĂč se situent les limitesLeur pensĂ©e, leurs questions sont illimitĂ©es, donc ils ont besoin de sentir qu’un cadre existe, auquel ils puissent s’arrimer. Et pour s’assurer que ce cadre est solide, ils l’attaquent, ils le testent. C’est pourquoi les parents peuvent prendre pour de l’agression ce qui est en rĂ©alitĂ© une recherche de repĂšres souffrent d’ĂȘtre envahis par leurs Ă©motions
et cachent cette rĂ©activitĂ© Ă©motionnelle exacerbĂ©e par un comportement agressif. Les enfants surdouĂ©s sont extrĂȘmement susceptibles, et ressentent de l’humiliation mĂȘme si la remarque est banale ou le geste insignifiant. Tout les affecte, puisque rien n’est insignifiant Ă  leurs yeux, mais ils veulent masquer cette fragilitĂ© Ă©motionnelle, et rĂ©agissent alors par la colĂšre, l’énervement, l’ aussi Comment aider un enfant surdouĂ© Ă  s’épanouir Ă  l’école ?2Aider un enfant prĂ©coce Ă  gĂ©rer son hyper-sensibilitĂ©En amont rĂ©sister et poser des limites clairesParvenir Ă  obtenir de ses parents tout ce qu’il souhaite entretient chez l’enfant un sentiment de toute puissance. Et ce sentiment est une souffrance car il lui suggĂšre qu’il est seul, que personne de plus fort que lui n’est lĂ  pour le protĂ©ger. RĂ©sister Ă  son enfant lui envoie au contraire une image de soliditĂ©, de Siaud-Facchin donne l’exemple d’Alicia, 9 ans, qui refuse que sa mĂšre la coiffe. Elle se dĂ©bat, elle hurle, dit que sa mĂšre est mĂ©chante
 Sa mĂšre, Ă  bout de nerfs, s’énerve et finit par cĂ©der. Dans cet exemple, Alicia ne souhaite en fait qu’une chose que sa mĂšre ne craque pas. Qu’elle soit capable de maintenir les limites nĂ©cessaires pour la protĂ©ger. En accĂ©dant Ă  sa demande, sa mĂšre lui envoie un message de fragilitĂ© est nĂ©cessaire que les parents dĂ©terminent ce qui est acceptable et ce qui est ne l’est est plus facile et plus cohĂ©rent de rĂ©sister lorsqu’auparavant, des limites claires ont Ă©tĂ© posĂ©es. Selon la psychologue, il est nĂ©cessaire que les parents dĂ©terminent ce qui est acceptable et ce qui est ne l’est pas, et d’imposer clairement des limites Ă  l’enfant, voire de les justifier si cela aide Ă  leur acceptation. Ces limites sont Ă  Ă©riger en rĂšgles on reprend l’exemple d’Alicia, la rĂšgle qui rassurerait la petite fille et Ă©viterait sans doute quelques conflits Ă  sa mĂšre, serait C’est toujours maman qui te coiffe. » L’explication, totalement personnelle selon le parent qui la donne, pourrait ĂȘtre parce que ça va plus vite et que le matin nous sommes trĂšs pressĂ©es, parce que je veux te faire des tresses pour que tu sois jolie,
Au moment des crises » laisser exploser, puis verbaliserLorsque l’enfant traverse une pĂ©riode de crise, plusieurs parents tĂ©moignent de leur impuissance Ă  intervenir et Ă  calmer l’enfant. En ce cas, laissez passer la crise, quitte Ă  s’isoler quelque temps afin de se calmer soi-mĂȘme, comme le confie Audrey J’ai appris, avec le temps, Ă  m’isoler quelques instants pour faire le point
 ainsi je suis plus calme pour l’aborder ensuite », ou encore BĂ©nĂ©dicte Je l’entraĂźne en dehors de la zone de conflit pour dĂ©compresser. Parfois je pratique la contention douce mais ferme rĂ©el effet apaisant, en le serrant dans mes bras ou en posant les mains sur ses Ă©paules s’il est debout. Et surtout, on revient en parole sur l’élĂ©ment dĂ©clencheur de la crise pour dĂ©dramatiser l’évĂ©nement tout en ne le niant pas non plus car l’enfant a le droit d’avoir des Ă©motions, et ces Ă©motions sont parfois trĂšs sincĂšres mais Ă  l’expression dĂ©mesurĂ©e ! et trouver les solutions qu’il peut mettre en place seul lorsque cela arrive pour gĂ©rer ses Ă©motions. J’essaye de garder en tĂȘte que s’énerver ne sert Ă  rien, voire dĂ©cuple la crise, afin de me motiver Ă  gĂ©rer ça calmement mĂȘme quand je suis exaspĂ©rĂ©e
 ».J’ai dĂ» beaucoup creuser pour dĂ©couvrir qu’un accĂšs de colĂšre ne cache pas forcĂ©ment de la frustration mais une grande ensuite le temps de saisir le moment opportun pour revenir calmement sur les raisons de sa colĂšre, les verbaliser, et trouver avec lui les solutions au problĂšme. Marie-HĂ©lĂšne tĂ©moigne Ce qui fonctionna le mieux avec elle fut le froid. J’ai passĂ© pas mal de crises sur la terrasse en plein hiver Ă  attendre 10 minutes que le froid l’aide Ă  retrouver ses esprits. La lecture de Montessori puis de Dolto m’a appris Ă  verbaliser pour elle tout ce qu’elle ne pouvait exprimer comme rage et frustration. À la fin des journĂ©es de classe, en primaire, j’ai instaurĂ© un temps calme, avec tapis de gym au sol, allongĂ©e, avec 10 minutes de musique relaxante, puis verbalisation de ce qui l’avait contrariĂ©e dans la journĂ©e. À 7 ans, cela va beaucoup mieux. LĂ  encore, j’ai dĂ» beaucoup creuser pour dĂ©couvrir qu’un accĂšs de colĂšre ne cache pas forcĂ©ment de la frustration mais une grande tristesse, d’avoir ratĂ© une mini dictĂ©e par exemple. Nous avons Ă©tabli le code suivant si tu sens que tu vas exploser, dis-moi que tu as besoin d’un cĂąlin, et je comprendrai tout de suite. Cela fonctionne bien. »
ETRZ.
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