VipÚreau poing d'Hervé Bazin - Chapitre 16 pas cher : retrouvez tous les produits disponibles à l'achat dans notre catégorie ebooks En utilisant Rakuten, vous acceptez l'utilisation des cookies permettant de vous proposer des contenus personnalisés et de réaliser des statistiques.
VipĂšre au poing, c’est le combat impitoyable livrĂ© par Jean Rezeau, dit Brasse-Bouillon, et ses frĂšres, Ă  leur mĂšre, une femme odieuse, qu’ils ont surnommĂ©e Folcoche. Cri de haine et de rĂ©volte, ce roman, largement autobiographique, le premier d’HervĂ© Bazin, lui apporta la cĂ©lĂ©britĂ© et le classa d’emblĂ©e parmi les Ă©crivains contemporains les plus lus.
Viperin the Fist: Directed by Philippe de Broca. With Catherine Frot, Jacques Villeret, Jules Sitruk, Cherie Lunghi. Jean Rezeau and his elder brother were living happily in their family estate in Brittany, until the death of their grandmother. The return of their mother, a worthy descendant of fairytales' witches, brings an all new atmosphere to their home.
Personnages Jean Rezeau Folcoche Jacques Rezeau Ferdinand Rezeau Marcel Rezeau Les AbbĂ©s Les meilleurs professeurs de Français disponibles4,9 70 avis 1er cours offert !5 85 avis 1er cours offert !4,9 117 avis 1er cours offert !5 39 avis 1er cours offert !4,9 56 avis 1er cours offert !5 38 avis 1er cours offert !5 38 avis 1er cours offert !4,9 17 avis 1er cours offert !4,9 70 avis 1er cours offert !5 85 avis 1er cours offert !4,9 117 avis 1er cours offert !5 39 avis 1er cours offert !4,9 56 avis 1er cours offert !5 38 avis 1er cours offert !5 38 avis 1er cours offert !4,9 17 avis 1er cours offert !C'est parti Durant l'Ă©tĂ© 1922, Jean et Ferdinand sont Ă©levĂ©s par leur grand-mĂšre paternelle dans le chĂąteau familial de la Belle-Angerie, Ă  quelques kilomĂštres d'Angers. Le dĂ©cĂšs de leur grand-mĂšre oblige leurs parents, Jacques et Paule, Ă  quitter la Chine oĂč le pĂšre est cadre dans une universitĂ© chinoise, pour revenir s’occuper de leurs enfants. Avec impatience et curiositĂ©, les deux enfants attendent leurs parents et le petit frĂšre qu’ils ne connaissent pas sur le quai de la gare. En se jetant sur leur mĂšre pour l’embrasser, ils se font violemment repousser par cette derniĂšre qui souhaite descendre tranquillement du train. Leur nouveau petit frĂšre, Marcel, leur adresse un salut presque froid. Seul leur pĂšre les embrasse. De retour au chĂąteau, la famille et le personnel sont convoquĂ©s dans la salle Ă  manger pour Ă©couter la nouvelle organisation de la famille le pĂšre annonce un emploi du temps spartiate, avec messe dans la chapelle privĂ©e dĂšs le commencement de la journĂ©e, vers 5 h 30, et Ă  son achĂšvement vers 21 h 30. Pendant la journĂ©e, les Ă©tudes sont dispensĂ©es par l'abbĂ© qui vit avec eux. Soudain, le pĂšre prend prĂ©texte d’avoir des mouches Ă  piquer pour se retirer, laissant ainsi sa femme, Paule, annoncer ses propres directives les enfants n’auront plus le droit au cafĂ© au lait le matin mais Ă  la soupe, ils auront les cheveux tondus par mesure d'hygiĂšne et, par sĂ©curitĂ©, elle ĂŽte les poĂȘles, les Ă©dredons et les coussins dans leur chambre. Elle leur confisque tous leurs objets personnels. Quant aux heures de recrĂ©ations, elles doivent ĂȘtre consacrĂ©es Ă  l'entretien du parc. Pour ne pas user leurs chaussures et chaussettes, elle leur impose le port de lourds sabots, qu'ils peuvent » porter avec de la paille s'il fait froid... » En peu de temps, les enfants sont affamĂ©s, frigorifiĂ©s, privĂ©s de tout confort, de toute tendresse, et constamment sujets Ă  des brimades, punitions ou humiliations de la part de leur mĂšre, sous l'Ɠil de leur pĂšre qui semble prĂ©fĂ©rer ne rien voir pour Ă©viter un conflit avec sa femme. Au cours des repas, elle n’hĂ©site pas Ă  piquer violemment un de ses fils avec la fourchette s'ils n’adoptent pas une tenue qu'elle considĂšre correcte. Quand la gouvernante tente de s’interposer, Paule la renvoie immĂ©diatement, comme elle l'a dĂ©jĂ  fait pour tout le personnel, Ă  l’exception de Fine, la vieille cuisiniĂšre, Ă  sa merci du fait qu'elle est sourde et muette. Les enfants qui dĂ©testent leur mĂšre lui trouvent le surnom qu'elle porte dorĂ©navant en permanence Folcoche », contraction de Folle et Cochonne. Ils gravent partout oĂč ils le peuvent des VF rituels, signifiant Vengeance Ă  Folcoche. Jean, le narrateur, est le fils qu'elle dĂ©teste le plus car il fait preuve d'une certaine audace, notamment en la fixant intensĂ©ment pendant les repas, "rituel" que les frĂšres appellent PistolĂ©tade ». AprĂšs une partie de chasse avec leur pĂšre qui a permis aux enfants de connaĂźtre quelques instants de bonheur, un incident se produit Folcoche, furieuse de voir les enfants heureux dĂ©cide de les priver de ce loisir ; mais le pĂšre se met soudain en colĂšre et ordonne Ă  sa femme de laisser les enfants en paix, puis rapidement, il rentre au chĂąteau, Ă©pouvantĂ© par son emportement. HumiliĂ©e, Folcoche isole les enfants dans une des piĂšces, et les bat violemment. Mais Jean tente de se dĂ©fendre, ce qui accroĂźt l’agressivitĂ© de Folcoche. Elle le frappe jusqu'Ă  Ă©puisement. Au repas, le pĂšre ne peut que remarquer les traces de coups sur le visage de son fils mais une fois de plus, il prĂ©fĂšre ne rien dire, et ne peut que lui adresser un sourire Ă©mu. AprĂšs la gouvernante, c'est l’abbĂ© qui est congĂ©diĂ©, et remplacĂ© par un nouvel abbĂ© que Folcoche espĂšre plus ferme avec les enfants. Au cours d'un repas, Folcoche est brutalement prise de malaise une crise hĂ©patique survient et nĂ©cessite une opĂ©ration qui l’oblige Ă  une hospitalisation de plusieurs mois. C'est pour les enfants une pĂ©riode douce ils deviennent proches de leur pĂšre et toutes les interdictions d’autrefois sautent. À nouveau, ils peuvent manger beurre et confiture, se promener dans le parc. Ils vont mĂȘme jusqu’à exploser de joie en apprenant que leur mĂšre est mourante. Mais leur souhait ne sera pas exaucĂ© car Folcoche survit et revient Ă  la Belle-Angerie. Soucieuse de restaurer ses rĂšgles drastiques, elle dĂ©couvre avec horreur qu'elle a du travail les enfants ont grandi dĂ©sormais, leur pĂšre et l’abbĂ© s’opposent aux tontes de cheveux, aux corvĂ©es de jardinage et autres brimades d’autrefois. Folcoche met alors un nouveau plan en place elle autorise son mari Ă  emmener Jean et Ferdinand chez des amis pour quelques semaines et reste seule au chĂąteau avec Marcel. Ce dernier, moins persĂ©cutĂ© que ses frĂšres, rĂ©vĂšle Ă  sa mĂšre une cachette dans les chambres de ses aĂźnĂ©s oĂč ils cachent des victuailles. DĂšs le retour de Jacques et de ses fils, Folcoche, qui a entre-temps engagĂ© un nouveau prĂ©cepteur, exige une sanction Ferdinand, parce qu’il est l'aĂźnĂ©, est fouettĂ© par l'abbĂ©, un homme dĂ©vouĂ© Ă  Folcoche. Celle-ci pense ainsi crĂ©er une brouille entre Ferdinand et Jean, ce qui n’aboutit pas. Le harcĂšlement de Folcoche prend des tournures de plus en plus grotesques elle dĂ©chire les vĂȘtements de ses fils pour ensuite les accuser, elle sale dĂ©mesurĂ©ment leur potage, elle les bouscule dans les encadrements de porte pour leur reprocher de ne pas lui laisser le pas... La tension devient telle que ses fils dĂ©cident de la tuer. La premiĂšre tentative consiste Ă  verser la totalitĂ© d’un mĂ©dicament dans le verre de Folcoche c’est un Ă©chec. Elle n’attrape que la diarrhĂ©e. La seconde tentative est plus audacieuse alors que les enfants naviguent sur une petite barque, ils attendent que Folcoche vienne les chercher. Celle-ci, furieuse que ses fils ne rĂ©pondent pas Ă  ses appels, dĂ©cide de sauter dans la barque. Mais Jean, le narrateur, donne un coup de rame au dernier moment et Folcoche se retrouve dans l’eau. Mais, Ă  la grande consternation de ses fils, elle sait nager et regagne le bord pĂ©niblement. Le soir, bien persuadĂ©e que Jean a tentĂ© de la tuer, elle exige qu’il soit fouettĂ© Ă  son tour. Mais celui-ci entend bien se dĂ©fendre et aprĂšs s'ĂȘtre enfermĂ© dans sa chambre, il profite de la nuit pour fuguer Ă  Paris oĂč il trouve refuge chez ses grands-parents maternels. Mais ces derniers, peu dĂ©sireux de s’occuper d’un petit-fils dont ils ne s'Ă©taient alors jamais souciĂ©, prĂ©viennent la famille Rezeau et Jean est ramenĂ© Ă  la Belle-Angerie par son pĂšre, avec pour seule victoire la promesse faite qu’il n’y aura pas de sanction. Mais Folcoche, ulcĂ©rĂ©e de cette escapade joue sa derniĂšre carte espĂ©rant ainsi l’envoyer en maison de correction elle cache une grosse somme d’argent dans la chambre de Jean et espĂšre ainsi le faire accuser de vol. Mais elle ne voit pas que celui-ci l’épie. Avant mĂȘme qu'elle ne donne l’alerte pour ce vol, Jean lui rapporte la liasse de billets, et pour la premiĂšre fois, lui montre clairement qu'il n'a plus peur d’elle ! MenacĂ©e par son fils de rĂ©vĂ©ler cette affaire Ă  tous les membres de la famille, il exige de quitter la maison pour devenir interne au collĂšge. AcculĂ©e, Folcoche ne peut qu’accepter Jean a enfin gagnĂ©. Dans une tirade mentale, adressĂ©e bien Ă©videmment Ă  Folcoche, Jean Rezeau fait le lien entre la vipĂšre qu'il a Ă©tranglĂ©e dans son enfance et celle, matĂ©rialisĂ©e par la duretĂ© de sa mĂšre, qu'il a 'Ă©tranglĂ©e' toute sa vie. "Merci, ma mĂšre ! Je suis celui qui marche, une vipĂšre au poing."
Résuméde VipÚre au poing d'Hervé Bazin. Quand il retrouve enfin son statut d'homme libre, il s'attÚle à décrire minutieusement ce qu'il a vécu et ce livre en est le résultat. Il reçoit une éducation bien supérieure à celle qui était généralement dispensée aux hommes noirs de cette époque et devient violoniste et charpentier. Comme le montre le film, il se marie avec

ï»żSi je te dis le mot “marĂątre” Ă  quelle Ɠuvre penses-tu ? Peut-ĂȘtre Ă  Cendrillon, certes, dans un premier temps. Mais si je te parle de VipĂšre au Poing, ça te dit quelque chose ? VipĂšre au Poing d’HervĂ© Bazin, c’est une Ɠuvre de littĂ©rature classique qu’il n’est pas rare d’étudier, notamment au collĂšge. Pour t’aider Ă  tout comprendre de ce roman, lis cet article oĂč tu trouveras le rĂ©sumĂ© de VipĂšre au poing, mais Ă©galement quelques Ă©lĂ©ments importants Ă  caser dans tes copies ! 😉 HervĂ© Bazin, l’auteur de VipĂšre au poing ✒ Qui Ă©tait HervĂ© Bazin ? đŸ€” HervĂ© Bazin – ou de son nom de naissance Jean Pierre Marie HervĂ©-Bazin – est un Ă©crivain et romancier français, nĂ© le 17 avril 1911 et mort le 17 fĂ©vrier 1996. Il est en particulier connu pour ses Ɠuvres VipĂšre au Poing, La Mort du petit cheval et Cri de la chouette. D’oĂč lui est venue l’inspiration pour VipĂšre au Poing ? 💭 Eh bien, les Ɠuvres d’HervĂ© Bazin sont tout simplement en grande partie autobiographiques ! Tu comprendras trĂšs vite pourquoi en lisant la suite de l’article, mais c’est son enfance qui lui a inspirĂ© son fameux livre ainsi que le personnage Folcoche. HervĂ© Bazin a grandi dans une famille aisĂ©e, Ă  Marans prĂšs d’Angers, dans la propriĂ©tĂ© familiale Le ChĂąteau du Patys avec ses deux frĂšres. Son pĂšre est Jacques HervĂ©-Bazin, un avocat de profession et sa mĂšre est Paule Guilloteaux, la fille du dĂ©putĂ© et sĂ©nateur Jean Guilloteaux. Durant son enfance, il s’oppose souvent Ă  sa mĂšre qui Ă©tait une femme autoritaire et froide. Du fait de son histoire familiale difficile, il fugue plusieurs fois durant son enfance, puis refuse de passer les examens Ă  la facultĂ© de droit d’Angers Ă  laquelle sa famille l’a forcĂ© Ă  aller. Il finit enfin par rompre le lien avec sa famille pour aller Ă©tudier Ă  la facultĂ© des lettres de la Sorbonne. VipĂšre au poing le contexte de l’histoire đŸ”„ IntĂ©ressons-nous maintenant Ă  ce qui t’intĂ©resse probablement le plus le rĂ©sumĂ© de VipĂšre au poing. 🚹 Spoilers inclus ! Qui nous raconte l’histoire de VipĂšre au poing ? đŸ€“ Le narrateur est Jean Rezeau, aussi surnommĂ© Brasse-Bouillon. Il nous raconte sa propre histoire, 25 ans aprĂšs les faits ainsi que celle de son frĂšre Ferdinand dit Fredie ou Chiffe en raison de son caractĂšre timide et peureux. Le cadre spatio-temporel de VipĂšre au poing ⏰ L’action se dĂ©roule durant l’étĂ© 1922 dans le chĂąteau familial de la Belle-Angerie, Ă  quelques kilomĂštres d’Angers. Un lieu que l’auteur connaĂźt bien puisqu’il a grandi dans les environs ! Durant cet Ă©tĂ©-lĂ , un Ă©vĂ©nement tragique se produit pour les deux frĂšres Jean et Ferdinand leur grand-mĂšre qui les Ă©levait jusqu’à prĂ©sent meurt, ce qui oblige leur pĂšre et leur mĂšre Ă  rentrer de Chine oĂč le pĂšre travaillait dans une universitĂ© pour pouvoir s’occuper des enfants. Le retour des parents le dĂ©but des pĂ©ripĂ©ties đŸ˜” Les deux frĂšres ne connaissent finalement que peu leurs parents, ayant Ă©tĂ© Ă©levĂ©s pendant des annĂ©es par leur grand-mĂšre. Ils ne connaissent pas non plus leur petit frĂšre, Marcel, le dernier nĂ© de la famille. Tu peux imaginer la hĂąte qu’ils ont de se retrouver en famille, non ? Pourtant, quand leurs parents arrivent c’est la douche froide. Alors qu’ils se jettent sur leur mĂšre pour Ă©changer de chaleureuses embrassades, celle-ci les gifle froidement et leur ordonne de porter leurs bagages. Leur petit frĂšre reste froid Ă©galement quand seul leur pĂšre daigne les embrasser. Folcoche portrait d’une marĂątre đŸ˜« Ferdinand et Jean rĂ©alisent rapidement que leur nouvelle vie ne va pas ĂȘtre aussi belle que ce Ă  quoi ils s’attendaient, en particulier Ă  cause de leur mĂšre qu’ils surnommeront par la suite Folcoche. À peine arrivĂ©s dans la maison, les parents Ă©dictent quelques nouvelles rĂšgles. Le pĂšre annonce que la journĂ©e commencera par une messe dans la chapelle privĂ©e Ă  5h30. Les garçons devront ensuite Ă©tudier avec l’abbĂ© qui vit avec eux et la journĂ©e se terminera Ă  21h30. Folcoche, quant Ă  elle, Ă©dicte d’autres rĂšgles les enfants n’auront plus le droit Ă  leur cafĂ© au lait du matin, ils auront le crĂąne rasĂ© pour des questions d’hygiĂšne et elle enlĂšvera les poĂȘles, Ă©dredons et coussins dans leurs chambres. De quoi passer les pires nuits d’hiver ! Les mesures draconiennes de Folcoche 😈 La mĂšre va donc commence par raser fils aprĂšs fils leurs cheveux, avec la tondeuse qui servait auparavant Ă  l’ñne Cadichon. Mais les maltraitances ne s’arrĂȘtent pas lĂ  Elle nourrit mal ses leur plante sa fourchette dans les mains s’ils adoptent une tenue incorrecteElle renvoie la gouvernante Ernestine qui a eu le malheur de dĂ©fendre les enfantsElle confisque leurs jouets et les friandises que leur offrent leurs grands-parentsElle les force Ă  se confesser devant elle et le prĂ©cepteur chaque soirElle les force Ă  porter de lourds sabots inconfortables pour ne pas abimer leurs chaussuresLes heures de rĂ©crĂ©ations sont maintenant destinĂ©es Ă  l’entretien du parc D’oĂč vient le nom de Folcoche dans VipĂšre au poing ? đŸ€” BlessĂ©s par le comportement de leur mĂšre, Fredie et Jean affublent leur mĂšre du surnom Folcoche qui est composĂ© des mots “folle” et “cochonne”. Ils commenceront Ă  graver un peu partout des “VF” qui signifient “Vengeance Ă  Folcoche”. RĂ©sumĂ© des chapitres 8 Ă  15 ✹ La partie de chasse avec le pĂšre đŸč Le pĂšre emmĂšne un jour ses fils Ă  une partie de chasse, ce qui leur permettra d’obtenir un moment de joie, mais surtout de rĂ©pit. Cependant, la mĂšre folle de haine d’avoir vu ses fils heureux dĂ©cide de les priver de ce loisir par la suite. Le pĂšre prend alors leur dĂ©fense, mais cela ne fait qu’empirer la situation puisque, humiliĂ©e, la marĂątre dĂ©cidera d’isoler les enfants dans une piĂšce et de les battre. Alors que Jean Rezeau tente de se dĂ©fendre, elle se met Ă  le battre jusqu’à l’épuisement. Au repas, bien que le pĂšre remarque les marques sur les corps de ses fils, il dĂ©cide cette fois de se taire. La maladie de Folcoche đŸ€§ Fort heureusement pour les enfants, un jour lors d’un repas la femme est prise d’un malaise. Elle est alors hospitalisĂ©e pendant plusieurs mois du fait d’une crise hĂ©patique. C’est un nouvel Ăąge d’or qui commence pour les enfants qui se rapprochent de leur pĂšre et voient toutes les anciennes interdictions levĂ©es. La haine qu’ils ressentent envers leur mĂšre est si forte qu’ils en viennent Ă  souhaiter sa mort. Celle-ci s’en sortira et reviendra Ă  la Belle-Angerie. Elle dĂ©couvre nĂ©anmoins avec horreur en rentrant que ses enfants ont grandi et que leur pĂšre s’oppose un peu plus Ă  elle. Le plan machiavĂ©lique de Folcoche đŸ€Ż Folcoche dĂ©cide alors d’accepter que le pĂšre emmĂšne Fredie et Brasse-Bouillon chez des amis et reste au chĂąteau pendant quelques semaines seule avec Marcel. Celui-ci qui prend le parti de sa mĂšre dĂ©nonce une cachette oĂč ses frĂšres cachaient des vivres pour les moments oĂč elle les en privait. À leur retour, Ferdinand qui est l’aĂźnĂ©, est fouettĂ© par le nouvel abbĂ© qu’elle a embauchĂ©. Elle espĂšre crĂ©er un conflit entre les deux frĂšres et ainsi les opposer, mais ceux-ci restent solidaires. Elle commence alors Ă  fomenter des plans tous plus tordus les uns que les autres pour torturer ses garçons. RĂ©sumĂ© des chapitres 16 Ă  la fin Les tentatives de meurtre đŸ”Ș ÉpuisĂ©s, les garçons dĂ©cident alors de tuer leur mĂšre pour en ĂȘtre dĂ©barrassĂ©s. Plusieurs tentatives Ils versent l’intĂ©gralitĂ© d’un mĂ©dicament dans son verre. Cela ne se solde que par une essaient de la noyer en la faisant sauter dans une barque qu’ils poussent au dernier moment pour qu’elle tombe dans l’eau. À leur plus grande surprise, elle en rĂ©chappe puisqu’elle sait nager. “La rage au cƓur, je dus assister au sauvetage de Folcoche par elle-mĂȘme. Sauvetage par elle-mĂȘme, je dis bien, car elles Ă©taient deux dans l’OmmĂ©e la fragile Mme Rezeau, toute couturĂ©e, sans muscles, manquant de souffle, et l’indomptable Folcoche, dĂ©cidĂ©e Ă  vivre et Ă  faire vivre son double, malgrĂ© l’eau sale qui lui trempait les cheveux, lui rentrait dans la gorge, vivement recrachĂ©e, malgrĂ© nos silencieuses priĂšres Ă  Satan. La voilĂ  qui se rapproche de la berge, la voilĂ  qui s’agrippe Ă  une touffe de sauges, l’arrache, retombe, saisit cette fois une racine plus solide et se hisse pĂ©niblement sur la rive oĂč elle s’effondre, Ă©puisĂ©e, mais sauvĂ©e Oh !” Cette deuxiĂšme tentative de meurtre aura pour consĂ©quence de mettre la mĂšre trĂšs en colĂšre. Elle prĂ©voira de battre Ă  nouveau Jean. Celui-ci s’échappera afin de rejoindre la maison de ses grands-parents maternels Ă  Paris. Malheureusement, ceux-ci dĂ©noncent Jean Rezeau car ils n’ont pas envie de s’en occuper et Brasse-Bouillon est ramenĂ© Ă  la Belle-Angerie. L’ultime plan de la marĂątre ⚔ La mĂšre essaie alors de jouer un dernier coup pour envoyer Jean en maison de correction. Elle cache une grosse somme d’argent et veut le faire accuser de vol. Avant qu’elle ne donne l’alerte, son fils lui rapporte la somme d’argent et la menace de rĂ©vĂ©ler cette affaire Ă  tous. Il exige de partir de la maison afin de devenir interne au collĂšge. RĂ©signĂ©e, Folcoche accepte. Jean Rezeau a gagnĂ©. À lire aussi L’origine du titre VipĂšre au poing Laisse-nous un commentaire ! Des questions ? Des bons plans Ă  partager ? Nous validons ton commentaire et te rĂ©pondons en quelques heures ! 🎉

Compterendu : Résumé vipÚre au poing. Recherche parmi 274 000+ dissertations. Tout d'abord, c'est l'histoire d'un jeune garçon et de sa famille. Jean et son frÚre Ferdinand vivent chez leur grand-mÚre car leurs parents vivent en Chine pour leur travail avec leur petit frÚre Marcel. Mais leur grand-mÚre meurt malheureusement d'une

DĂ©cryptez VipĂšre au poing d'HervĂ© Bazin avec l'analyse du ! Que faut-il retenir de VipĂšre au point, le cĂ©lĂšbre roman autobiographique d'HervĂ© Bazin ? Retrouvez tout ce que vous devez savoir sur cette Ɠuvre dans une analyse complĂšte et dĂ©taillĂ©e. Vous trouverez notamment dans cette fiche ‱ Un rĂ©sumĂ© complet‱ Une prĂ©sentation des personnages principaux tels que Jean, Paule et Jacques‱ Une analyse des spĂ©cificitĂ©s de l'Ɠuvre un rĂ©cit initiatique, un roman autobiographique, l'inspiration rĂ©aliste du roman, et un rĂ©cit d'une mordante ironie. Une analyse de rĂ©fĂ©rence pour comprendre rapidement le sens de l'Ɠuvre. LE MOT DE L'ÉDITEUR Dans cette nouvelle Ă©dition de notre analyse de VipĂšre au poing 2017, avec Delphine Leloup et CĂ©lia Ramain, nous fournissons des pistes pour dĂ©coder ce bouleversant rĂ©cit autobiographique mettant en scĂšne une mĂšre tyrannique. Notre analyse permet de faire rapidement le tour de l'Ɠuvre et d'aller au-delĂ  des clichĂ©s. » StĂ©phanie FELTEN À propos de la collection PlĂ©biscitĂ© tant par les passionnĂ©s de littĂ©rature que par les lycĂ©ens, est considĂ©rĂ© comme une rĂ©fĂ©rence en matiĂšre d'analyse d'Ɠuvres classiques et contemporaines. Nos analyses, disponibles au format papier et numĂ©rique, ont Ă©tĂ© conçues pour guider les lecteurs Ă  travers la littĂ©rature. Nos auteurs combinent thĂ©ories, citations, anecdotes et commentaires pour vous faire dĂ©couvrir et redĂ©couvrir les plus grandes Ɠuvres littĂ©raires. est reconnu d'intĂ©rĂȘt pĂ©dagogique par le ministĂšre de l'Éducation. Plus d'informations sur

VipĂšreAu Poing RĂ©sumĂ© Chapitre Par Chapitre Page 2 sur 21 - Environ 207 essais ReprĂ©sentation du monde dans le roman 1301 mots | 6 pages renard » de Mary Higgins Claks, lapetitemuExpertA ceux qui Ă©tudient ou ont Ă©tudiĂ© VipĂšre au poing en 3e comment procĂ©dez-vous pour rendre comprĂ©hensibles aux Ă©lĂšves les nombreuses rĂ©fĂ©rences religieuses ? et sociales dans un second temps Je ne parle pas seulement des symboles "faciles", comme le serpent, mais des formules latines, des mots dĂ©signant les membres du clergĂ©...Rien que dans le premier chapitre, entre "une tĂȘte de vipĂšre, c'est triangulaire comme Dieu, son vieil ennemi", "mon oncle le protonotaire apostolique", "Pater, Ave. Un petit ex-voto fut accrochĂ© dans le silence." ... Comment faire pour expliciter ces mots ou expressions dont certains sont importants pour la comprĂ©hension, soit de l'histoire, soit du style de l'auteur sans interrompre sans cesse la lecture pour expliquer ? Je pensais Ă  quelque chose comme une fiche voire un cours entier Ă  distribuer avant de commencer l'oeuvre sur la religion chrĂ©tienne. Mais que choisir exactement ? Je ne vais pas faire un cours de catĂ©chisme non plus... Rappel des Ă©pisodes importants de la Bible ? Principales formules de priĂšre ? Organisation gĂ©nĂ©rale du clergĂ© Ă  cette Ă©poque, avec prĂ©cisions sur les membres qu'on rencontre dans le livre ? MĂȘme question pour le contexte social bourgeoisie dĂ©but XXe...Aidez-moi, s'il vous plaĂźt ! Vos rĂ©ponses seront dĂ©terminantes dans ma dĂ©cision d'opter ou non pour cette oeuvre en OI...OudemiaEsprit sacrĂ©"protonotaire apostolique", mĂȘme Ă  l'Ă©poque ça ne courait pas les rues, voilĂ  pourquoi le personnage est montĂ© en Ă©pingle le titre est plus ronflant que la fonction.J'avais tentĂ© une annĂ©e, il y a longtemps; le contexte social Ă©chappe aux Ă©lĂšves, comme celui du XIXe s. finalement ils peuvent ĂȘtre sensibles Ă  l'AcadĂ©mie française pour l'aspect religieux, la fiche est un prĂ©alable que j'avais failli faire que je vais peut-ĂȘtre rĂ©aliser pendant l'Ă©tĂ© tiens, cela m'amusera ; dans ce cas je te l'enverrai.saocaeNiveau 7AprĂšs lecture du 1er chapitre, j'ai demandĂ© Ă  mes Ă©lĂšves de choisir 5 mots-clefs rĂ©sumant le chapitre, en expliquant leur choix. Quelques uns avaient choisi le mot "religion". J'ai complĂ©tĂ© les rĂ©fĂ©rences du 1er chapitre Ă  ce moment-lĂ . Je n'ai pas expliquĂ© le contexte social. C'est certainement une erreur de ma part. greamNiveau 6Je remonte le topic. Je vais commencer Ă©galement l'Ă©tude de ce tu as finalement fait une fiche ou les Ă©lĂšves n'en ont pas eu besoin ?Sauter versPermission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
VipĂšreau poing d'HervĂ© Bazin - Chapitre 20 - Commentaire de texte par Audrey Millot aux Ă©ditions lePetitLitteraire.fr. Plongez-vous dans l’analyse du chapitre 20 de VipĂšre au poing d’HervĂ© Bazin pour approfondir votre comprĂ©hension
Plongez-vous dans l'analyse du chapitre 20 de VipĂšre au poing d'HervĂ© Bazin pour approfondir votre comprĂ©hension de l'ouvre !Que retenir du chapitre... Lire la suite 4,99 € E-book - ePub Ebook TĂ©lĂ©chargement immĂ©diat 4,99 € Grand format ExpĂ©diĂ© sous 2 Ă  4 semaines 9,99 € Vous pouvez lire cet ebook sur les supports de lecture suivants TĂ©lĂ©chargement immĂ©diat DĂšs validation de votre commande Offrir maintenant Ou planifier dans votre panier Plongez-vous dans l'analyse du chapitre 20 de VipĂšre au poing d'HervĂ© Bazin pour approfondir votre comprĂ©hension de l'ouvre !Que retenir du chapitre 20 de VipĂšre au poing, le roman populaire qui fit scandale Ă  sa sortie ? Retrouvez toutes les subtilitĂ©s de ce chapitre dans un commentaire original et complet pour approfondir votre rĂ©flexion sur le rĂ©cit. Vous trouverez dans cette fiche . Une introduction sur l'ouvre et son auteur. L'extrait sĂ©lectionnĂ© Chapitre 20. Une mise en contexte. Un commentaire de texte complet et dĂ©taillĂ© L'outil indispensable pour percevoir rapidement ce qui fait du chapitre 20 de VipĂšre au poing une guerre psychologique entre mĂšre et fils !À propos de la collection PlĂ©biscitĂ© tant par les passionnĂ©s de littĂ©rature que par les lycĂ©ens, est considĂ©rĂ© comme une rĂ©fĂ©rence en matiĂšre d'analyse d'ouvres classiques et contemporaines. Nos analyses, disponibles au format papier et numĂ©rique, ont Ă©tĂ© conçues pour guider les lecteurs Ă  travers toute la littĂ©rature. Nos auteurs combinent thĂ©ories, citations, anecdotes et commentaires pour vous faire dĂ©couvrir et redĂ©couvrir les plus grandes ouvres littĂ©raires. est reconnu d'intĂ©rĂȘt pĂ©dagogique par le ministĂšre de l'Éducation. Plus d'informations sur Date de parution 08/12/2014 Editeur ISBN 978-2-8062-3328-8 EAN 9782806233288 Format ePub CaractĂ©ristiques du format ePub Protection num. pas de protection

Description VipĂšre au poing est un roman largement autobiographique d'HervĂ© Bazin, publiĂ© en 1948.Il contient 186 pages pour 4€. RĂ©sumĂ©: VipĂšre au poing, c'est le combat impitoyable livrĂ© par Jean Rezeau, dit Brasse-Bouillon, et ses frĂšres, Ă  leur mĂšre, une femme odieuse, qu'ils ont surnommĂ©e Folcoche.

Fiche de lecture sur vipĂšre au poing Delphine Leloup TĂ©lĂ©chargement immĂ©diat Format PDF Sans DRM RĂ©sumĂ© Tout ce qu'il faut savoir sur VipĂšre au poing d'HervĂ© Bazin ! Retrouvez l'essentiel de l'?uvre dans une fiche de lecture complĂšte et dĂ©taillĂ©e, avec un rĂ©sumĂ©, une Ă©tude des personnages, des clĂ©s de lecture et des pistes de de maniĂšre claire et accessible, la fiche de lecture propose d'abord un rĂ©sumĂ© chapitre par chapitre du roman, puis s'intĂ©resse tout particuliĂšrement Ă  Jean et Ă  sa mĂšre, qui entretiennent une relation haineuse. On Ă©tudie ensuite la dimension autobiographique de l'?uvre, ainsi que sa portĂ©e initiatique, avant d'aborder la critique formulĂ©e par Mauriac Ă  l'encontre de la famille bourgeoise. Enfin, les pistes de rĂ©flexion, sous forme de questions, vous permettront d'aller plus loin dans votre Ă©tude. Une analyse littĂ©raire de rĂ©fĂ©rence pour mieux lire et comprendre le livre ! CaractĂ©ristiques techniques NUMERIQUE Éditeurs Lemaitre Publishing Auteurs Delphine Leloup Parution 31/08/2011 Nb. de pages 13 Contenu PDF EAN13 9782806229489 Avantages Livraison Ă  partir de 0,01 € en France mĂ©tropolitaine Paiement en ligne SÉCURISÉ Livraison dans le monde Retour sous 15 jours + d'un million et demi de livres disponibles RĂ©sumĂ© CaractĂ©ristiques techniques Nos clients ont Ă©galement achetĂ©
\n\n \n résumé vipÚre au poing chapitre par chapitre
DĂ©couvrezVipĂšre au poing de HervĂ© Bazin grĂące Ă  une analyse littĂ©raire aussi complĂšte que dĂ©taillĂ©e. Ce document contient la prĂ©sentation du roman, les raisons du succĂšs, les thĂšmes principaux et l’étude du mouvement littĂ©raire de l’écrivain. Cette fiche de lecture rĂ©pond Ă  une charte qualitĂ© mise en place par une Ă©quipe
PrĂ©sentation du romanVipĂšre au poing est le premier roman d'HervĂ© Bazin. Celui-ci l'a rendu immĂ©diatement cĂ©lĂšbre. Il a Ă©tĂ© publiĂ© en 1948, et est le premier volet d'une trilogie qui raconte successivement l'enfance de Jean Rezeau, sa vie de jeune adulte puis celle d'homme d'Ăąge mĂ»r jusqu'Ă  la mort de sa mĂšre Folcoche. Cette trilogie VipĂšre au poing, La Mort du Petit Cheval, Le Cri de la Chouette est trĂšs largement au Poing a Ă©tĂ© adaptĂ© Ă  la tĂ©lĂ©vision en 1971. Alice Sapritch y interprĂšte le rĂŽle de Folcoche dans une rĂ©alisation de Pierre Cardinal. RĂ©sumĂ© du romanL'histoire dĂ©bute durant l'Ă©tĂ© 1922. Un enfant dĂ©couvre une vipĂšre. Il la saisit et l'Ă©touffe de ses mains. Cet acte lui vaut d'ĂȘtre comparĂ© Ă  Hercule, le personnage de la mythologie grecque, qui dans son berceau Ă©trangla deux ans plus tard, Jean Rezeau, "l'enfant de 1922" est le narrateur de l'histoire. Son surnom est Brasse-Bouillon. Il Ă©voque la propriĂ©tĂ© de sa famille, La Belle Angerie. Il prĂ©sente sa grand-mĂšre paternelle, Mme Rezeau, chez qui lui et son frĂšre aĂźnĂ©, Ferdinand, ont passĂ©, parmi des domestiques dĂ©vouĂ©s, quelques annĂ©es d'enfance heureuses tandis que leurs parents et leur plus jeune frĂšre sĂ©journaient en Chine. M. Rezeau pĂšre enseignait le droit international dans une universitĂ© Jean a huit ans, sa grand-mĂšre meurt d'une maladie des reins. Les parents doivent rentrer de Chine. Les deux frĂšres ont hĂąte de revoir leurs parents et de dĂ©couvrir ce petit frĂšre, Marcel, qu'ils ne connaissent pas .Mais les retrouvailles se transforment en cauchemar. Les deux frĂšres sont sur le quai de la gare de SegrĂ© pour accueillir leurs parents et leur petit frĂšre. Ils se prĂ©cipitent vers leur mĂšre pour l'embrasser. Mais celle-ci, agacĂ©e par ces gestes de tendresse les gifle sans mĂ©nagement et leur ordonne de porter les Rezeau cesse de travailler et vit des revenus de la propriĂ©tĂ©. Homme faible, il est dominĂ© par sa femme et prĂ©fĂšre passer ses journĂ©es Ă  collectionner les insectes plutĂŽt que de s'occuper de ses enfants. Le narrateur dĂ©crit ensuite les autres membres de sa famille sa mĂšre, Mme Rezeau est la fille d'un sĂ©nateur, et la petite fille d'un banquier. TrĂšs riche , elle a apportĂ© une immense dot au mari que lui ont choisi ses Jean prĂ©sente ses frĂšres Ferdinand, l'aĂźnĂ©, dit Fredie que l'on appelle parfois Chiffe en raison de son caractĂšre timide et peureux; et Marcel , le jeune frĂšre , le prĂ©fĂ©rĂ© de sa mĂšre, qu'il dĂ©crit comme fourbe et travailleur. Jean , le narrateur que l'on appelle Brasse-Bouillon, se dĂ©crit comme un enfant joufflu, aimant la vie mais aussi rebelle et ayant mauvais leur arrivĂ©e, les parents imposent une discipline de fer. M. Rezeau Ă©tablit des horaires draconiens et Mme Rezeau commet de sĂ©vĂšres brimades, dont la plus traumatisante est de tondre ses enfants avec la tondeuse qui servait auparavant pour l'Ăąne deux frĂšres aĂźnĂ©s subissent la cruautĂ© de leur mĂšre, sa partialitĂ© et sa sĂ©vĂ©ritĂ©. Elle chasse Ernestine , la gouvernante, qui a eu le malheur de protester et peut ainsi Ă  sa guise imposer sa tyrannie . Elle nourrit mal ses enfants, et se permet pendant les repas de planter sa fourchette dans leurs mains. Elle les prive de promenades et les condamne Ă  passer leurs journĂ©es Ă  dĂ©sherber les allĂ©es du parc. Elle confisque les objets et les jouets de ses enfants ainsi que les friandises que leur offre leurs grands-parents. Pire, le soir, aprĂšs la priĂšre, chaque enfant doit se confesser devant elle et le prĂ©cepteur et avouer les pĂ©chĂ©s de la journĂ©e. Marcel, le jeune fils prĂ©fĂ©rĂ©, en profite pour dĂ©noncer ses par tant de cruautĂ©, Fredie et Jean se rĂ©fugient dans l'hypocrisie et affublent leur mĂšre du surnom de Folcoche, association de folle et de la saison de chasse , M. Rezeau pĂšre propose Ă  ses enfants de l'accompagner et de rabattre le gibier. Les fils profitent pleinement des ces quelques heures de libertĂ©. Folcoche, elle, vit mal ce plaisir que leur procure ce loisir. Un soir, excĂ©dĂ© de constater que ses fils ont passĂ© une trĂšs agrĂ©able journĂ©e, elle dĂ©cide de sĂ©vir. Pour une fois, leur pĂšre dĂ©cide de s'interposer. VexĂ©e par cet Ă©chec Folcoche fait payer cette humiliation Ă  ses enfants. Sans aucun motif, les dents serrĂ©es, elle les bat. Le jardinier , qui a eu le malheur d'assister Ă  la scĂšne est soir pendant la priĂšre, Folcoche s'Ă©vanouit. Le mĂ©decin diagnostique des calculs Ă  la vĂ©sicule. En plus de la douleur que doit supporter Mme Rezeau, en raison de cette maladie, elle doit affronter Brasse-Bouillon qui a trouvĂ© comme seule dĂ©fense de la fixer dans les yeux durant les repas. Ce soir-lĂ  il parvient Ă  soutenir son regard pendant huit la Belle Angerie, les prĂ©cepteurs se succĂšdent Ă  un rythme effrĂ©nĂ©. Soit ils ont le malheur de se hasarder Ă  des remarques, soit ils ne supportent pas cette ambiance haineuse. Les enfants commencent Ă  leur donner des surnoms, ainsi BIV est-il remplacĂ© par BV qui ne reste que 8 14 juillet 1927, Folcoche est hospitalisĂ©e Ă  Angers pour une opĂ©ration de la vĂ©sicule biliaire. Les garçons profitent de l'absence de leur mĂšre ils laissent repousser les pissenlits du jardin et leur cheveux. MĂȘme leur pĂšre semble aller mieux, ses migraines diminuent et il se met Ă  initier ses enfants Ă  sa passion des insectes, Ă  la politique,Ă  la botanique et Ă  l' tarde Ă  retrouver la santĂ©; ses garçons craignent son retour et se prennent Ă  rĂȘver de sa mort. Ils en profitent aussi pour se constituer des rĂ©serves une cachette dans la chambre de Fredie leur permet de stocker toutes les provisions qu'ils peuvent rentre Ă  la Belle Angerie. Mais durant les quelques mois de son absence, ses fils ont grandi et les gifles qu'elle distribue toujours aussi gĂ©nĂ©reusement ont beaucoup moins d'impact. Il lui faut changer de stratĂ©gie. Elle essaye de renvoyer Fine, la femme qui sert la famille depuis trente ans, mais M. Rezeau s'y oppose. Pour semer la discorde parmi les trois frĂšres qui ont constituĂ© un "pacte de dĂ©fense", Folcoche tente de corrompre Marcel , le jeune frĂšre, mais Brasse-Bouillon parvient Ă  maintenir l'union sacrĂ©e entre les dĂ©cide alors d'Ă©loigner les deux aĂźnĂ©s pour mettre au point une nouvelle tactique. M. Rezeau pĂšre, Ferdinand et Jean partent en voiture dans le Gers. Cette aventure permet aux deux frĂšres de goĂ»ter des plaisirs inconnus des hĂŽtes chaleureux, des lits confortables, des repas dĂ©licieux.... Mais bizarrement Brasse-Bouillon supporte mal cette vie sans interdiction et sans haine. Folcoche lui manque ...Une lettre de Marcel, leur frĂšre cadet, leur permet d'avoir les derniĂšres nouvelles de la Belle Angerie. Folcoche a engagĂ© un nouveau prĂ©cepteur encore plus sĂ©vĂšre que les prĂ©cĂ©dents. Elle a aussi dĂ©couvert la cachette oĂč les enfants stockaient leurs provisions. Le retour risque d'ĂȘtre terrible...Les enfants rentrent Ă  la Belle Angerie. AussitĂŽt ils donnent Ă  l'abbĂ© Traquet, leur nouveau prĂ©cepteur, le surnom de BVII. Celui-ci commence par fouetter FrĂ©die, en raison des provisions trouvĂ©es dans sa chambre. Mais Brasse-Bouillon ne reste pas inactif en cachette il rĂ©conforte son frĂšre aĂźnĂ© . Ensuite il jette le trouble chez Folcoche en lui laissant croire que le prĂ©cepteur a vraiment Ă©tĂ© trĂšs clĂ©ment avec le fautif. Puis il murmure au prĂ©cepteur que sa mĂšre le prend pour un simple domestique. Enfin il obtient de son pĂšre que FrĂ©die bĂ©nĂ©ficie d'une est devenu le principal souffre douleur de Folcoche. Elle multiplie les humiliations et lui, les reprĂ©sailles. C'est la "guerre civile". A l'actif de Folcoche les soupes Ă©pouvantablement salĂ©es, les habits de son fils qu'elle dĂ©chire et qu'elle accuse ensuite de nĂ©gligence. Brasse Bouillon n'est pas en reste il dĂ©chire la collection de timbres de Folcoche, arrose ses fleurs avec de l'eau de Javel. Pour faire payer Ă  leur mĂšre sa piĂ©tĂ© perfide , les frĂšres se dĂ©foulent dans les Ă©glises ils jettent les missels dans les bĂ©nitiers, dĂ©traquent les horloges, couvrent les murs de graffitis...Puis c'est la guerre "alimentaire" . Folcoche leur donne Ă  manger du poisson avariĂ© et accuse ses enfants d'avoir voulu empoisonner les chevaux. Cette accusation donne des idĂ©es aux enfants. Ils versent 100 gouttes de belladonne dans le cafĂ© de leur mĂšre pour l'empoisonner. Mais celle-ci qui a souvent utilisĂ© ce mĂ©dicament durant sa maladie n'aura qu'une "simple" colique. Les enfants ne dĂ©sarment pas , si l'empoisonnement a Ă©chouĂ©, alors ce sera la noyade dans la riviĂšre. Folcoche en rĂ©chappe qui comprend qu'elle a Ă©chappĂ© par deux fois Ă  la mort dĂ©cide de se venger. Elle demande Ă  l'abbĂ© Traquet de fouetter Brasse Bouillon , qu'elle soupçonne d'ĂȘtre le meneur. Il se barricade dans sa chambre et s'enfuit la nuit parvient Ă  se rendre Ă  Paris chez ses grands parents maternels, les Pluvignec. Il est impressionnĂ© par ce sĂ©nateur qui vit dans le somptueux quartier d'Auteuil , par sa fortune mais est incommodĂ© par sa vanitĂ©. M. Pluvignec, lui, est amusĂ© par l'audace de son petit-fils et il promet d'œuvrer pour rĂ©concilier l'enfant et sa Rezeau pĂšre arrive Ă  Paris chercher son fils et Ă  la grande surprise de ce dernier il n'exprime aucune colĂšre , juste un embarras. Jean en vient presque Ă  regretter que ce ne soit pas Folcoche qui ait fait le voyage. Certes, il la dĂ©teste, mais elle, elle aurait fait preuve d'autoritĂ© et de Bouillon revient avec son pĂšre Ă  la Belle Angerie . L'ambiance est plutĂŽt Ă  l'indiffĂ©rence. Il prend alors l'habitude de se rĂ©fugier sur la plus haute branche d'un arbre de la propriĂ©tĂ©. Ce refuge, oĂč il se rend trĂšs souvent lui permet d'analyser la nouvelle situation. Il sait que maintenant son combat contre Folcoche a changĂ© de nature. Sa corpulence d'adolescent, ses initiatives, son assurance et son sens de la provocation impressionnent Folcoche. Il rĂȘve d'ĂȘtre bientĂŽt exclu de la travaux recommencent Ă  la Belle Angerie il faut dĂ©sherber les allĂ©es du parc, cirer les parquets du salon... Pourtant un anniversaire va modifier le quotidien. Cela fait vingt cinq ans que le vĂ©nĂ©rable RenĂ© Rezeau a Ă©tĂ© Ă©lu Ă  l'AcadĂ©mie française. Jacques Rezeau, le pĂšre de Jean souhaite organiser une grande cĂ©rĂ©monie familiale pour fĂȘter l'illustre octogĂ©naire. Le jour de la fĂȘte, il faut Ă©couter un discours assommant de trois heures. Jacques Rezeau profite de cette journĂ©e pour vanter les valeurs de la bourgeoisie et de la famille. Jean pour sa part a trouvĂ© cette cĂ©rĂ©monie dĂ©suĂšte et incongrue. La haine qu'il Ă©prouvait pour ses proches s'Ă©tend maintenant Ă  toute sa famille et Ă  toute la Bouillon et Folcoche se mĂ©nagent quelque peu. Jean a maintenant quinze ans et commence Ă  dĂ©sirer les femmes. Il jette son dĂ©volu sur Madeleine, une jeune fermiĂšre. Un dimanche d'Ă©tĂ©, en fin d'aprĂšs-midi, il parvient Ă  la sĂ©duire sous l'œil attentif de FrĂ©die qui, Ă  la fois, contrĂŽle le voisinage et s'assure de la rĂ©ussite de son quelques semaines, Jean savoure sa conquĂȘte, mais trĂšs vite il s'irrite des marques de tendresse de Madeleine. Pour lui, les femmes ne peuvent ĂȘtre diffĂ©rentes de sa mĂšre, c'est pourquoi il s'en qui sait maintenant que Brasse Bouillon la connaĂźt parfaitement souhaite l'Ă©loigner. Elle projette de cacher son portefeuille dans la chambre de son fils puis elle l'accusera. Jean pressent le piĂšge. Il voit sa mĂšre sortir de sa chambre et s'empresse de lui rapporter le portefeuille qu'elle a "oubliĂ©". La confrontation entre les deux adversaires n'a pas lieu, car finalement ils ont le mĂȘme objectif le dĂ©part de Jean pour le CollĂšge. Ce qu'il finit par obtenir pour lui et pour ses frĂšresJean va prĂ©venir Madeleine de son dĂ©part. Il se moque de sa tristesse. Elle fond en trois garçons vont partir comme internes chez les JĂ©suites au Mans. Reste une haine dĂ©finitive entre Folcoche et Jean. Cette animositĂ© a façonnĂ© pour toujours la personnalitĂ© du narrateur. Il n'a plus confiance en rien ni en personne. Il quitte la Belle Angerie "une vipĂšre au poing".
Lerobinson du mĂ©tro rĂ©sumĂ© par chapitre. DemandĂ© Par Admin @ 18/07/22 & Vu Par 17 Personnes. le robinson du mĂ©tro rĂ©sumĂ© par chapitre. Answer: le robinson du mĂ©tro RĂ©sumĂ© des chapitres 1 Ă  12 de VipĂšre au poing d’HervĂ© Bazin Chapitre 1 En 1922 alors qu’il est encore tout jeune enfant, le narrateur joue dans le jardin de “La Belle Angerie”, la demeure familiale. Il tombe sur une vipĂšre endormie et la saisit par le cou. Il l’étrangle d’une main de fer, ce qui donne lieu Ă  une comparaison avec Hercule tuant deux serpents dans son berceau. Ce face-Ă -face prĂ©figure les rapports qui s’établiront entre le jeune Rezeau et sa mĂšre. Chapitre 2 “La Belle Angerie” est la demeure de la famille Rezeau depuis plus de deux siĂšcles. C’est un ensemble de bĂątiments en mauvais Ă©tat, avec une maison principale de trente-deux piĂšces au confort spartiate. Jean Rezeau, le narrateur de VipĂšre au poing, fait une gĂ©nĂ©alogie de sa famille son grand-oncle, RenĂ© Rezeau, membre de l’AcadĂ©mie Française, est la gloire familiale ; sa grand-mĂšre paternelle, Marie Rezeau a eu onze enfants de son mari Ferdinand, dont Jacques Rezeau, le pĂšre de Jean. Jacques Ă©pouse Paule Pluvignec en 1913. Celle-ci est issue d’une riche famille et amĂšne une dot consĂ©quente aux Rezeau dĂ©sargentĂ©s. De ce mariage naissent trois enfants Ferdinand alias FrĂ©die ou Chiffe, Jean ou Brasse-Bouillon et Marcel surnommĂ© Cropette. Jean explique que son frĂšre aĂźnĂ© et lui ont Ă©tĂ© confiĂ©s aux bons soins de leur grand-mĂšre Marie tandis que leurs parents sont partis pour la Chine, oĂč Jacques Rezeau est professeur de Droit. Marcel naĂźt Ă  ShanghaĂŻ. Jean raconte son Ă©ducation dans VipĂšre au poing fortement empreinte de religion et de piĂ©tĂ© enfantine. Chapitre 3 L’existence heureuse, parfaitement rĂ©glĂ©e de Jean et son frĂšre, est bouleversĂ©e par la mort de leur grand-mĂšre. Femme forte au caractĂšre affirmĂ©, elle succombe avec dignitĂ© et laisse un souvenir tendre et sĂ©vĂšre Ă  son petit-fils Jean. Sa mort annonce la venue de la mĂšre de Jean. Chapitre 4 de VipĂšre au poing Dans ce passage du roman de Bazin, FrĂ©die et Jean, accompagnĂ©s de Mlle Ernestine la gouvernante et de la comtesse Bartolomi, leur tante, viennent accueillir leurs parents Ă  la gare de SegrĂ©. Cela fait huit mois que leur grand-mĂšre est morte et ils sont impatients de revoir leurs parents et de faire la connaissance de Marcel. A peine descendue du train, Mme Rezeau gifle ses fils qui essayaient de l’embrasser. Ils dĂ©couvrent derriĂšre elle leur pĂšre et leur jeune frĂšre. FrĂ©die et Jean sentent que les choses n’ont pas fini de se gĂąter. Chapitre 5 PrĂ©sentation de la famille Rezeau rĂ©unie Jacques, le pĂšre, est ĂągĂ© de quarante-cinq ans. Brun et moustachu, il a un physique mince. C’est un ĂȘtre craintif et maladif qui se rĂ©fugie dans ses lectures. Paule, la mĂšre, a trente-cinq ans et semble avoir Ă©tĂ© une belle femme. Elle a la main leste sur ses enfants et se passionne notamment pour la philatĂ©lie. FrĂ©die, l’aĂźnĂ©, tient de son pĂšre pour tout. Son surnom, Chiffe, en tĂ©moigne. Il a le nez tordu Ă  force de se moucher depuis toujours du cĂŽtĂ© gauche. Marcel lui, semble avoir hĂ©ritĂ© des traits de caractĂšre des Pluvignec. Sournois et hypocrite, le portrait qu’en tire son frĂšre est peu flatteur. Jean quant Ă  lui, se dĂ©crit comme ressemblant physiquement Ă  sa mĂšre, Ă©gocentrique avec un caractĂšre frondeur qui lui vaut le surnom de Brasse-Bouillon. La famille de VipĂšre au poing s’installe Ă  “La Belle Angerie” oĂč le pĂšre se consacre Ă  l’étude des mouches. Des abbĂ©s prĂ©cepteurs se succĂšdent pour s’occuper de l’éducation des enfants. Alphonsine, Fine, est la seule domestique qui reste aprĂšs la purge effectuĂ©e par Mme Rezeau. Autour du domaine de “La Belle Angerie” gravite tout un monde paysan, que Jean nomme les serfs. Chapitre 6 Le 27 novembre 1924, le pĂšre Rezeau Ă©dicte toute une sĂ©rie de rĂšgles strictes que Mme Rezeau agrĂ©mente de privations et brimades comme la tonte obligatoire avec la tondeuse de l’ñne ou la suppression des poĂȘles et oreillers dans les chambres. Chapitre 7 Dans le 7Ăšme chapitre du livre d’HervĂ© Bazin, Mme Rezeau se fait un devoir d’inventer sans cesse de nouvelles rĂšgles. Mlle Ernestine qui essaie de protĂ©ger les enfants se voit renvoyĂ©e. Les corvĂ©es s’enchaĂźnent tout comme les restrictions. Toute la maison est mise sous clefs, elles-mĂȘme enfermĂ©es dans une armoire dont Mme Rezeau porte la clef entre ses seins. Mme Rezeau dĂ©cide d’instaurer la confession familiale quotidienne. Marcel joue les dĂ©lateurs Ă  cette occasion. AprĂšs cette nouvelle humiliation, FrĂ©die rebaptise sa mĂšre Folcoche, contraction de folle et de cochonne. Chapitre 8 AprĂšs une partie de chasse avec leur pĂšre, les enfants et plus particuliĂšrement Jean subissent les foudres de Folcoche. Leur pĂšre ayant donnĂ© de la voix contre elle, Folcoche se venge. Brasse-Bouillon rend quelques coups et se prĂ©sente, couvert de bleus mais fier, au repas. Chapitre 9 Le pĂšre Trubel, le troisiĂšme prĂ©cepteur dans le rĂ©cit de VipĂšre au poing, est congĂ©diĂ© aprĂšs des plaintes mettant en cause sa proximitĂ© avec les filles de ferme. Les vexations se poursuivent et les inscriptions “ “Vengeance Ă  Folcoche”, se multiplient sur tous les arbres du parc de “La Belle Angerie”. A table, Chiffe et Brasse-Bouillon mettent en place la “pistolĂ©tade” qui consiste Ă  fixer intensĂ©ment Folcoche le plus longtemps possible. Ces duels silencieux sont l’occasion pour Jean de jeter sa haine au visage de sa mĂšre. Un soir, Folcoche s’évanouit et le docteur, appelĂ© d’urgence, dĂ©tecte une crise hĂ©patique. Jean se prend Ă  espĂ©rer que sa mĂšre ne survive pas. Chapitre 10 Le rĂ©sumĂ© du 10Ăšme chapitre de VipĂšre au poing A l’occasion de la rĂ©ception annuelle, Folcoche n’achĂšte qu’un complet que les garçons devront porter Ă  tour de rĂŽle. L’abbĂ© numĂ©ro quatre, qui ose le faire remarquer, se retrouve Ă©jectĂ© aprĂšs une nouvelle crise de foie de Folcoche. Suit l’abbĂ© numĂ©ro cinq qui ne reste que huit jours et alerte sans succĂšs l’archevĂȘchĂ© sur les mĂ©thodes d’éducation de Folcoche. Celle-ci, occupĂ©e par des crises frĂ©quentes, embauche un nouvel abbĂ©. Les garçons grandissent et elle commence Ă  sentir son pouvoir vaciller. Chapitre 11 Une crise plus grave survient le 14 juillet 1927 et Folcoche est obligĂ©e de partir se faire opĂ©rer. En son absence, les choses s’arrangent Ă  “La Belle Angerie”. L’état de Folcoche tarde Ă  s’amĂ©liorer et les garçons profitent d’une proximitĂ© nouvelle avec leur pĂšre, libĂ©rĂ© de la prĂ©sence de sa femme. Chapitre 12 Pour continuer le rĂ©sumĂ© de VipĂšre au poing
 AprĂšs que son Ă©tat ait empirĂ©, Folcoche reprend le dessus et subit une seconde opĂ©ration. Pendant son absence, les enfants se sont constituĂ© une rĂ©serve de nourriture cachĂ©e dans la chambre de Brasse-Bouillon. Folcoche rentre Ă  l’improviste Ă  “La Belle Angerie”. Chapitres 13 Ă  25 du roman Chapitre 13 AprĂšs son retour, Folcoche engage un long travail de reconquĂȘte. Elle essaie de diviser pour rĂ©gner et couvre Cropette d’attentions. A la faveur d’un sĂ©jour de M. Rezeau chez un ami, Folcoche autorise les deux aĂźnĂ©s Ă  l’accompagner. Chapitre 14 Le 14 chapitre de VipĂšre au poing au cours de leur voyage vers le Gers, FrĂ©die, Jean et leur pĂšre font de la gĂ©nĂ©alogie familiale, rendent visite Ă  d’anciens camarades de rĂ©giment de Jacques Rezeau et profitent d’agapes inĂ©dites pour eux. Ils Ă©crivent Ă  Marcel, et Folcoche par la mĂȘme occasion, leur joie. La rĂ©ponse annonce l’arrivĂ©e de l’abbĂ© numĂ©ro sept, la dĂ©couverte du “coffre-fort” et le dĂ©part de leur camarade de jeux. Chapitre 15 Retour en Craonnais par Bordeaux, Royan et La Rochelle pour voir la mer. FrĂ©die est sĂ©vĂšrement puni et Brasse-Bouillon monte un stratagĂšme pour semer la zizanie entre Folcoche et le nouvel abbĂ©, zĂ©lĂ©. Il travaille Ă  amadouer son pĂšre pour qu’il amnistie FrĂ©die le jour de sa fĂȘte, Ă  la Saint Jacques. Chapitre 16 Dans ce passage de VipĂšre au poing, la guerre est ouvertement dĂ©clarĂ©e entre Folcoche et ses fils. Elle ne manque plus une seule occasion de tomber sur les garçons, les harcelant et les punissant sans cesse. Les garçons en viennent Ă  tenter d’empoisonner Folcoche. Celle-ci en est quitte pour une colique. La seconde tentative arrive sur la riviĂšre lorsqu’elle tente de monter sur la barque oĂč ils se trouvent et que Brasse-Bouillon s’écarte, espĂ©rant qu’elle se noie. Elle s’en sort. Chapitre 17 Le rĂ©sumĂ© La riposte ne tarde pas plus de bateau et fouet pour Jean. Celui-ci se barricade dans sa chambre et lorsque sa porte est forcĂ©e, tout le monde dĂ©couvre qu’il s’est enfui, laissant une feuille oĂč sont marquĂ©s “ Chapitre 18 Dans ce chapitre, HervĂ© Bazin, l’auteur de VipĂšre au poing, raconte Jean fugue vers Paris oĂč il se rend chez ses grands-parents Pluvignec qui le reçoivent fraĂźchement. Chapitre 19 Jacques Rezeau vient chercher son fils Ă  Paris Ă  qui il accorde son pardon. Chapitre 20 Jean fait le point et se rend compte que maintenant il affronte Folcoche Ă  armes Ă©gales. Celle-ci maintient le statu quo. Chapitre 21 FĂȘte Ă  “La Belle Angerie” Ă  l’occasion des vingt-cinq ans d’AcadĂ©mie Française du grand-oncle RenĂ© Rezeau. Toute la famille Rezeau et consorts se pressent et Jean se prend Ă  ressentir de la mĂ©lancolie lors de cette rĂ©union surannĂ©e. Chapitre 22 Dans ce 22Ăšme chapitre de VipĂšre au poing Jean et FrĂ©die s’éveillent au dĂ©sir. Jean est attirĂ© par Madeleine, fille d’un mĂ©tayer des Rezeau. Il finit par perdre sa virginitĂ© avec elle. Chapitre 23 Folcoche se rend compte du changement survenu chez Jean. Celui-ci la surprend alors qu’elle veut le faire accuser de vol en mettant son portefeuille dans l’une de ses cachettes. Il la laisse faire. Chapitre 24 Jean affronte sa mĂšre et lui ramĂšne le portefeuille. AprĂšs une bataille psychologique et verbale, il est convenu qu’il aille au collĂšge. Chapitre 25 M. Rezeau annonce aux garçons qu’ils iront au collĂšge. Folcoche tente d’ultimes brimades et Jean pose sur leur relation un regard sans concessions. Il se sent plus proche d’elle qu’il ne l’aurait cru et sait qu’il lui ressemble. Dans le mĂȘme temps, il fait le parallĂšle avec la vipĂšre de son enfance. Il a vaincu sa mĂšre, la vipĂšre, et la brandit fiĂšrement. Fin du rĂ©sumĂ© de VipĂšre au poing d’HervĂ© Bazin. 4hGdu.
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